Majora Mask et Zelda DX
The Legend of Zelda : Majora’s Mask
ConsoleNintendo 64
AnnéeOctobre 2000ExemplairesN/AParticularitésSupporte le Rumble Pack et l’Expansion Pak.
L’histoire du jeu se situe dans la continuité directe d’Ocarinaof Time : Epona trotte doucement dans une forêt montée parun Link fatigué. Au détour d’un chemin, deux fées(Taya et Taël) surgissent devant le cheval, le faisant ainsi cabrer. Linktombe à la renverse, assommé. Un être étrange apparaîtalors, un masque lui cachant le visage. Alors qu’il découvre l’Ocarinaet joue avec, Link se réveille mais ne parvient pas à récupérerson bien. Pire, Skull Kid, son voleur, s’enfuie avec sur le dos d’Epona,se retrouve transformé en Mojo (les petits êtres qui s’enfoncentdans des fleurs et crachent des graines) et rencontre un vendeur de masque.Celui-ci vous explique que le masque de Skull Kid lui a été voléet détient des pouvoirs maléfiques. Vous avez 72H pour le retrouver.
Link, fatigué…
…se fait voler sa monture.
La première nouveauté du jeu est ce temps limité : 72Hpour retrouver le masque ; une heure dans le jeu équivaux à uneminute réelle. Dans 72 heures, le marchand de masque doit partir. Dans72 heures, une catastrophe va se produire : la lune, attirée par SkullKid, va s’écraser sur la plaine de Termina exterminant hommes,plantes et animaux. Grâce à l’ocarina que l’on récupèrepar la suite, il sera possible de ralentir la progression du temps et, surtout,de revenir au début de la première journée.
Bénéficiant de l’expansion pack de 4Mo (la mémoirevidéo passant ainsi à 8Mo), le jeu est encore plus beau que levolet précédent. Marais, montagne, mer et désert ; telsseront les quatre palais que vous aurez à explorer. Cela fait peut êtrepeu mais les palais sont immenses et bien coriaces. Les boss sont gigantesques(surtout celui du marais, au moins vingt fois plus grand que Link) mais pastrop compliqués à battre.
- même de changer d’apparence. Les objets restent dans la tradition
- arc, flacons, grappin et j’en passe.
- même de changer d’apparence. Les objets restent dans la tradition
- arc, flacons, grappin et j’en passe.
- même de changer d’apparence. Les objets restent dans la tradition
- arc, flacons, grappin et j’en passe.
- Les objets restent dans la tradition
- arc, flacons, grappin et j’en passe.
Les musiques sont de toute beauté. Leur qualité et leur finessevous feront d’autant plus apprécier cet épisode de la sagaZelda, le deuxième réalisé en 3D. C’est un jeu incontournable,qui plaira aux enfants comme aux adultes, plein d’humour et de drôlerie,de situations cocasses et comiques, de personnages attachants, d’une histoireintrigante et d’un héros à la recherche de lui-même.
Les graphismes tirent pleinement partie de l’Expansion Pak.
Link, transformé malgré lui en plante verte.
The Legend of Zelda : Link’s Awakening
ConsoleGame Boy / Game Boy Color
AnnéeAoût 1993Décembre 1998 (Version DX)Exemplaires4 millionsParticularités- Disponible en version monochrome ou couleur (DX). La version DX comprenant quelques nouveautés (dont un palais supplémentaire).
La légende
Après un voyage dans une région inconnue, Link revenait àHyrule lorsqu’il fut pris par la tempête. Son bateau coula, et, aprèsquelques temps, Link échoua sur une mystérieuse île appeléeCocolint. L’île est unique à cause de l’uf immense qui setrouve à son sommet. A l’intérieur, le Poisson Rêve dortet attend - du moins c’est ce que dit la légende. Après avoirparlé avec Marine, une fille qui ressemble étrangement àZelda, Link sort pour chercher son épée mais est interrompu parun étrange hibou lui disant que le jour où le Poisson Rêvese réveillera toutes les questions s’éclairciront. L’aventurede Link peut commencer.
Link est recueillit par Marine.
Les personnages
Link - Il voulait simplement rentrer chez lui… il est tombé sur une île de fous.
Marine - Link la confond avec Zelda.
Tarin - Grand amateur de champigons hallucinogènes. Lui aussi on pourrait facilement le confondreavec quelqu’un…
Test du jeu
Un jeu auquel je n’ai personnellement pas beaucoup accroché. Il s’agiten fait d’une sorte de version miniature de Zelda 3. On ne peut biensûr pas trop attendre d’une portable mais le fait est que le jeu est beaucoupmoins prenant que les autres épisodes de la série. En contrepartie,les développeurs ont visiblement essayé de se démarquerpar l’humour, mais ça tombe souvent à plat, surtout que les nomsridicules des personnages, tel que « Pépé le Ramolo »ou « Mami Youpi » ne risque pas de faire rire grand monde.
Pris par la tempête…
Link s’échoue sur la plage…
et est recueillit par Marine qu’il prend à tort pour Zelda.
La prouesse technique est quand même notable. Les graphismes font en effet partiedes meilleurs de la console portable (surtout en version DX) et c’est la premièrefois qu’un jeu Game Boy était introduit par un dessin animé. Pour le reste, jene le conseille que pour faire passer le temps pendant un long voyage en trainsinon vous pouvez passer votre chemin. Sur Game Boy, vous pouvez vous tournervers les Oracles qui semblent bien meilleurs. A noter qu’en plus des couleurs,la version DX dispose d’une quête supplémentaire où il faut récupérer des photoset d’un palais supplémentaire où les énigmes sont basées sur les couleurs.
Mamie Youpi est hélas un personnage clef.
Dans la version DX, vous trouverez différentes photos. Ici la princesse Peach qui (curieusement) s’appelle Christine.
Le palais de la version DX où tout est basé sur les couleurs.