4/5 — Exceptionnel !
Ça faisait 6 ans que les joueurs de Quake 3 tournaient en rond sur leur jeu préféré. Malgré quelques errance comme par exemple une avec un grand mec baraqué qui portait si bien le t-shirt avec une bombe et le lance roquette. Mais au final ils y revenaient toujours. Finalement en 2004 les petits gars de People Can Fly mettent le couvert et cette année là, la vie de pas mal de Quakers a enfin changé.
2/5 — Presque bien
C’est beau, c’est bourrin… c’est ennuyeux… En tout cas en solo, n’ayant pas testé le multijoueur… Peu d’armes, un scénario inexistant, des niveaux qui se succèdent sans guère de corrélation… Bref, pour ceux qui aiment le bourrinage pur et dur avec des monceaux de cadavres en perspective, c’est surement un excellent titre, mais je ne suis pas client…
4.5/5 — Exceptionnel !
Un jeu à la old-school, pas la peine de s’intéresser à Painkiller si on cherche du subtil car justement il a pris le parti de donner du fun immédiat, pas de scénar, rien, du bourrin pur comme aux débuts du FPS ^^ et c’est comme ça qu’il faut voir Painkiller. Si on ne comprend pas cela, on ne comprend rien au jeu… Il n’empeche que le jeu regorge de petites trouvailles sympa (le black tarot) et propose des environnements ultra variés.
3.5/5 — Très bien
Atmosphère intéressante, décors impressionnants de réalisme, adversaires très classes, gore à tous les étages,…mais ça ne reste jamais qu’un FPS bourrin à mort malgré quelques micro tentatives d’originalité. L’un des meilleurs de sa catégorie ceci dit…
4.5/5 — Exceptionnel !
Un genou à terre s’il vous plait, façe à Painkiller, le grand Painkiller! Tout simplement l’un des meilleurs fps que j’ai connu. La nérvosité des combats (enfin un fps vraiment défoulant), la grande diversité des décors et la superbe atmosphère qui s’en dégage, la classe général du jeu, le bunny jumping, le lance pieu… Tout fait en ce jeu une sorte de resurrection de la substence que pouvait avoir le premier Quake, mais avec l’ingéniosité d’un bon level design, qui utilise à outrance son moteur physique, havlok et Ragdoll, afin qu’on sente bien les tirs de nos armes et le décors dans lequel on évolue.
2/5 — Presque bien
Il y a bourrin répétitif et bourrin répétitif, mais comme pour les chasseurs il y a le bon et le mauvais. Prenons deux jeux bourrins et répétitifs, au hasard Painkiller et Max Payne. Les deux ont une réalisation technique exemplaire, les deux sont bourrins (on tire comme un malade du début à la fin et la progression n’est pas entravée par des enigmes et autres clefs à trouver) et les deux ont une mécanique qui reste rigoureusement la même du premier jusqu’au dernier niveau.
5/5 — Parfait !
Amateurs de culture, de finesse et de poésie passez votre chemin (ou ruez-vous plustot des softs ludo-éducatifs style marine malice ou adibou…), Painkiller est un jeu bourrin pour les gamers assoiffés de sang (on l’est tous à un moment ou un autre çelon le niveau de testostérone dans le sang… >8-J),critiquer Painkiller c’est comme critiquer les jeux d’Arcade car comme eux c’est un défouloir ultime complétement assumé sans prétention qui n’ennuie jamais le joueur mais l’hypnotise dans une folie meurtriére sauvage car il remplit pleinement et parfaitement sa mission par une jouabilité exemplaire avec un moteur graphique et physique nouvelle génération qui met en valeur l’univers gothique du titre.
3.6/5 — Très bien
