La première erreur technologique de Nintendo. Son principe reposait sur le concept de la réalité virtuelle (d’où son nom). Elle n’était ni une console de salon ni une portable : il s’agissait d’un « casque » posé sur un trépied. Ce casque comprenait 2 mini écrans intégrés, un pour chaque oeil. Deux images différentes étaient ainsi envoyées afin de simuler l’effet tri-dimensionnel.Malgré ce côté attractif, la réalité virtuelle, la recette était trop en avance sur son temps et la formule peu pratique : il fallait jouer debout ce qui donnait lieu à des maux de tête chez certaines personnes.

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Galerie d'images Virtual Boy

Adaptateur d'alimentation

Ce petit adaptateur se loge à la place du compartiment de piles (quelqu’un le gardait encore ?) et permet d’y brancher un câble d’alimentation … pour Super Famicom.

Il existe une autre variante de ce boîtier, avec prise et transformateur intégré.

Virtual Boy Hardcase (vue intégrale)

Vue plongeante sur la valise Virtual Boy et son contenu. Y’a pas à dire ça impressionne dans la rue : on a l’impression d’être un véritable killer ;)

Virtual Boy Hardcase

Gros plan sur l’intérieur de la valise de transport Virtual Boy. Il y a la place pour le Virtual Boy, son pied (détaché), une manette ainsi que l’alimentation secteur. Détail qui tue : aucun emplacement n’est prévu pour les jeux.

Virtual Boy Hardcase (fermée)

La valise officielle pour transporter le Virtual Boy, fermée. Elle est composée de plastique rigide sur l’extérieur (y compris les loquets de fermeture) et d’une mousse protectrice à l’intérieur, moulée aux formes du Virtual Boy.

Virtual Boy ... assis (2) !

La position de jeu « normale ». Le défaut réside dans la difficulté à trouver un support pour poser le Virtual Boy de sorte à disposer d’une position confortable lors du jeu.La taille du pied oblige à se pencher pour conserver les yeux « en face des trous ».

Virtual Boy ... assis !

Contrairement à ce que l’on croit, le Virtual Boy se joue assis et n’est pas attaché à la tête ou quoi que ce soit d’autre.La manette se branche directement sur l’unité centrale.

Virtual Boy ... couché !

Et non je ne dors pas mais c’est la position la plus pratique pour jouer : confortable, reposant et totalement immergente ! Le poids de la console relativement faible et largement supportable ne provoque pas de douleur. Les caches en mousse (eyeshades) autour des écrans sont finalement les bienvenus.

Virtual Boy accompagné d'une manette

La 32-bits de Nintendo que personne (ou presque) ne connait. Et pourtant elle en a dans le ventre avec des jeux d’une qualité exemplaire !La manette est reliée au « casque », lui même reponsant sur un pied double inclinable et repliable.En dessous du plastique rouge, sur la face avant, la fine bande grise est la cartouche de jeu une fois insérée.Chose originale : on allume la console à partir de la manette. On y retrouve également un compartiment de 6 piles destiné à l’alimentation de la console.

Virtual Boy sur pied (trois quart)

Vue sur l’intérieur : les yeux se placent en face de 2 écrans. Ceux-ci renvoient une image différente (en fait, légèrement décalée) provoquant ainsi un effet de relief/profondeur très convaincant.

Virtual Boy sur pied

Un virtual boy dans son plus simple appareil, dénué de manette et de câble d’alimentation. Même 10 ans après il reste esthétiquement rigolo.

Teleroboxer

Boîte du jeu Teleroboxer, encore sous scellé. A la Punch Out (NES), ce jeu vous entraine dans des combats de boxe entre robots tout en vous immergeant dans une sensation de profondeur de décors.Boîte américaine.

Virtual Boy Wario Land

Boite du jeu du même nom, en version US, encore sous scellé sur la photo.Il est considéré comme étant un des meilleurs jeux du Virtual Boy et ce titre mérite amplement cette distinction.