Alors là, les amis… Je me sens tout fébrile… Ce jeu est particulier pour moi. Dans ma vie de joueur, je considère que ce jeu est la perle des daubes, la référence vidéo-merdique, le mètre-étalon de la médiocrité. Avec Race Drivin’ sur Game Boy, il a sa place au Panthéon des daubes infâmes. Je suis même fier d’avoir pu jouer à ça, je l’ai fait!

Même quand j’étais petit (j’y avais joué chez un pote, j’avais 12 ans), je me suis rendu compte de sa toute-puissance en matière de connerie. Ce jeu va à l’encontre de tous les critères qui font d’un jeu un soft correct: héros au charisme de cheeseburger, animation en droite ligne du Père Lachaise, le pire, c’est qu’on ne comprend même pas ce qu’il faut faire au début, un comble…

Je le veux. Je l’aurai, un jour… Je l’aurai! Je suis fier de lui décerner un superbe et claquant 0, vraiment. Ah, une dernière chose… J’espère qu’aucun d’entre vous ne se l’est procuré en neuf, à l’époque… Sinon, vous vous êtes fait… Aïe, ouille!