Sûrement l’épisode le plus marquant. Si il marqua autant les esprits des joueurs dans les années 90, c’est bel et bien parceque sa réalisation grandiose (que l’on doit au grand Miyamoto) se trouvait à des années lumières de toute autre production vidéo-ludique.Un univers féerique plein de vie et de magie où se partage le monde de la lumière et le monde des ténèbres ! Si c’est pas beau ça !La puissance et la profondeur intrinsèques qui se dégagent de ce chef – d’œuvre sont bouleverssifiantes (ce mot n’existe pas).Tout dans ce jeu est absolument sublime : Les graphismes somptueux à la fois mignons et colorés, les musiques de grande composition (c’était le moment d’inspiration de Koji Kondo) impeccablement digitalisées, la durée de vie impressionnante, la jouabilité frisant la perfection, et puis cette profondeur, inimitable peut être dû à l’ambiance typique du jeu.Ce Zelda est l’épisode exemplaire, le plus parfait et le moins critiqué, le plus admiré ainsi que le plus copié de toute la saga. Inégalé cependant.