Techniquement aussi repoussant que son aîné, Terminator II est tout aussi redondant, mais lui se paie le luxe d’un héros qui ne témoigne en rien sa douleur lorsqu’il est touché : pas de clignotement, de « Arrgh ! Zorglub ! Je suis fait ! » ni même d’une quelconque jauge de vie qui descend à l’écran. On ne se rend compte que l’on est mal en point que lorsqu’il est trop tard.