Comment je suis devenu retrogamer ?Lorsque, pris de nostalgie, j’ai été faire un flipper dans une salle de jeu d’aéroport, et que soudain, un cri inattendu venu d’un coin de la salle m’a figé et rappelé une pléiade d’excellents souvenirs.

Ce « Hadoken » était synonyme de nuits blanches, de rigolades entre potes, de tournois pour la gloire. Bref, de grands moments de joueurs, ceux que seuls les jeux d’exception peuvent procurer. Il fallait que je possède Street Fighter II ! Le reste a suivi…

Ok, il y a sans doute eu mieux depuis, plus rapide, plus beau, plus haut, plus fort… Seulement… les jeux de baston, c’est pas mon truc, mais celui-là, c’est l’exception qui confirme la règle et le plaisir est resté intact.Je l’adule, le vénère… Je le place au panthéon des jeux qui ont marqué un tournant, une époque… Bref, des jeux qui ont fait la légende.