Dans les années 90, il y avait deux compagnies qui s’acharnaient à massacrer tout ce qu’elles touchaient. D’un côté, US Gold et ses portages foireux de l’arcade, de l’autre THQ et ses adaptations piteuses de licences de seconde zone.Au vu de ce James Bond Jr., j’en viendrais presque à regretter les Indiana Jones et Strider des premiers.