Que voila un jeu bel et bon, mes enfants ! La recette en est toute simple :Prenez un fond de Castlevania nouvelle génération (post-SotN en fait), ajoutez-y un zeste de Zelda et une pincée de Parasite Eve, et tadaa ! C’est fini.C’est aussi simple que cela. Vagrant Story emprunte au premier le parcours d’une vaste carte pièces par pièces, au second la résolution d’énigmes basiques et au troisième le système de combats pseudo temps réel avec aires d’effets.Si je n’étais pas convaincu par ce dernier en jouant à Final Fantasy XII (c’est exactement la même chose mais en chiant), ici c’est particulièrement bien foutu, notamment grâce à l’implémentation des combos. Le système de crafting est pas con lui non plus, obligeant sans cesse à réfléchir à ce que l’on emporte.Pour le reste, Vagrant Story se paie aussi le luxe d’être très joli pour l’époque, plutôt original et franchement long, si bien qu’au final il y a bien peu à lui reprocher.Certes, il n’est pas novateur pour un sou, mais tout le monde peut pas faire la révolution tous les jours, non plus.