On quitte New-York, avec sa mafia italienne et ses triades, pour atterrir à Miami en plein milieu des années 80, avec ses cartels sud-américains. L’impression de liberté est encore plus présente que dans GTA3, grâce notamment à des missions et des décors variés bien plus diversifiés.Par contre, je ne me suis jamais plongé tout à fait dans l’ambiance, les chemises bariolées, les pantalons cintrés, la musique affligeante saturée de synthés des groupes à la mode de l’époque ; en fait, tous les clichés des années 80 je n’ai jamais accroché.Avec GTA3 et Vice City, c’est un peu comme si on avait le choix (pour faire une comparaison cinématographique) entre la saga du Parrain et la série Miami Vice. Pour ma part c’est tout vu…