Avec la foule de FPS qui l’on suivi, c’est sür que Doom a beaucoup vieilli. Mais ce phénomène en son temps reste un jeu agréable par sa simplicité et son côté violence pure. Ici pas de fioritures, on sort le fusil à canon scié et on tire comme un gros bill point barre. On regrette quand même que Ultimate Doom n’apporte quasimment rien mis à part un épisode (Thy Flesh Consumed)… ID Soft était vraiment dans sa période gros flemmards, et Doom 2 le confirmera par la suite.