La grande facilité de Max Payne est vraiment regrettable car j’ai perçu ce soft comme un épisode imaginaire de la série des « Justiciers dans la ville » avec Charles Bronson. Basique, bêtement manichéen mais tellement défoulant et libérateur. On ne peut pas dire qu’on s’ennuie une seule seconde avec ce soft d’action pure et dure. Ceci dit, la durée de vie n’est effectivement pas assurée et une courte journée de jeu suffit pour en voir le bout. C’est sans doute pour ça que je l’ai loué et non acheté. Pas fou non plus, hein…