« Damn! Those alien bastards are gonna pay for shooting down my ride! » :p

Quel bourrin ce Duke! On peut dire que de l’action il y en a et les niveaux sont aussi bien construits que variés. Et variés ils le sont, du peep-show au sous-marin nucléaire en passant pas un terrain de football américain… La réalisation somptueuse à l’époque a certes pris un coup de vieux et la jouabilité aussi s’en ressent mais on s’y refait vite et le jeu est vraiment jouissif.

A noter l’humour, avec les fameuses phrases à la Duke : « Nobody steals our chicks… and lives! » ou encore « It’s time to kick ass and chew bubble gum, and I’m all out of gum! » (clin d’oeil au film de série B Invasion Los Angeles avec le catcheur Rody Piper, très dans l’esprit Duke Nukem). Pas la seule référence puisqu’on peut aussi trouver un passage secret avec un cadavre d’un homme portant chapeau d’aventurier et fouet, et Duke de dire : « We meet again, Dr Jones » :p Côté humour trash, les séquences de fin de chapitre sont à voir, Duke étant assez imaginatif sur l’emploi qu’il peut faire du cadavre d’un gros boss (notamment le 2° chapitre). ;)

Rajoutez à tout cela un data-disk très bien foutu (même s’il n’est pas révolutionnaire) et des milliers de niveaux supplémentaires plus ou moins bien réussis par des fans et des compagnies tierces et on a une durée de vie ma foi quasimment infinie!

Bref, je n’ai qu’une seule chose à dire, Duke reste encore aujourd’hui dans mon Top 3 des FPS.