J’avais été relativement déçu à l’époque devant le peu de nouveautés de Doom 2 : 5 ou 6 bestioles de plus, une seule arme, des levels au design assez similaires. Id software ne s’était vraiment pas foulé pour cette suite. D’un autre côté, c’était une nouvelle opportunité de massacrer du démon à tour de bras, à une époque où les FPS n’étaient pas aussi nombreux qu’aujourd’hui. J’ai donc arrêté de me plaindre et j’ai commencé à tirer…