Au début déconcertant par sa maniabilité et le fait qu’on se perde si facilement dans ses dédales, Descent s’avère un excellent jeu une fois qu’on l’a apprivoisé. Grosse tension quand il s’agit de retrouver son chemin en vitesse avant de se faire pulvériser dans la destruction du complexe une fois le réacteur détruit… Descent était un des rares jeu à gérer le casque virtuel à 6000 balles qui était sorti à l’époque. Il parait que c’était particulièrement bluffant mais qu’on ne pouvait guère y jouer plus d’un quart d’heure, sous peine de migraines épouvantables…