Ce qu'en pense Angus
3.5/5 — Très bien
_WinBack : Covert Operations
Développé par Omega Force, publié en France par Koei Co. Ltd. en janvier 2001._
Un groupe terroriste, les Lions Rugissants, s’est emparé du centre de contrôle d’un satellite ultra sophistiqué, le GOLFE (GULF en anglais) et pour prouver qu’ils sont à prendre au sérieux, ils ont bousillé le Centre de Recherches Spatiales (qui entre parenthèses était le seul autre endroit d’où on pouvait contrôler le satellite). Leur revendication ?
Lire la suite du test de Operation WinBack par Angus
Ce qu'en pense corrigo
4.5/5 — Exceptionnel !
Un très bon jeu ! Nous avons là une excellente alternative à Metal Gear Solid sur cette console, je me suis amusé dessus comme un petit fou ! Le panel de mouvement est complet et simple à mettre en œuvre.Le scénario est bien ficelé,avec plusieurs fins, et vous aurez accès à des nouveaux modes de jeux quand vous l’aurez fini, (mode munitions illimités, ou mort subite, très pratique contre les boss).
Ce qu'en pense Antarka
3.5/5 — Très bien
N’ayant jamais touché un Metal Gear Solid depuis la NES, je saurais pas comparer ces deux jeux.
Winback possède un charme certain. Une beauté, et une technique en général, de très bonne qualité.
Néanmoins, sa linéarité est énorme, et m’a privé de beaucoup du plaisir que je pouvais y prendre. De même que le scénario, très banal, fait plus penser (malgré le coté infiltration très poussé) à un mauvais Van-Damme qu’a une histoire subtile et bien pensée.
Ce qu'en pense Magnio
4.5/5 — Exceptionnel !
Le Metal Gear Solid de la Nintendo 64, en plus beau et plus maniable. Si le jeu est déjà assez abouti sur le plan de l’infiltration, il n’égale malheureusement pas MGS, et sa bande sonore est loin d’être aussi marquante que le chef-d’œuvre d’Hideo Kojima, mais il fallait bien lui trouver des reproches. Par contre, le mode Multijoueurs est vraiment sympa, pour peu que l’on aime le genre évidemment.
Ce qu'en pense Antekrist
2/5 — Presque bien
Qu’est-ce qu’il est chiant, ce jeu ! Des décors vides et ternes, un parcours ultra-balisé, une jouabilité à la mords-moi-le-zob… Vraiment, moi je suis passé complètement à côté (j’ai même failli passer à côté du test, si Magnio n’avait pas été là).