Gros coup de nostalgie pour moi puisque je n’avais pas rejoué à ce jeu depuis que mon voisin me l’avait prêté dans les années 90. Et comme ce fut mon seul Castlevania sur NES à l’époque, autant dire que j’ai pris cher au niveau difficulté du gameplay quand j’ai attaqué son prédécesseur il y a un ou deux ans. Mais n’allez pas croire que Simon’s quest est facile… Oh non ! La difficulté est ailleurs, puisque c’est l’aspect recherche qui pimentera le tout. Et croyez-moi, il faudra tourner longtemps avant d’avoir résolu toutes les énigmes menant à Dracula. Si je n’avais pas eu un souvenir précis sur comment passer un endroit du jeu, je n’aurais sans doute pas trouvé comment avancer à plusieurs endroits et je serais encore en train de tourner en rond.

Bref, un changement de concept réussi par rapport à son prédécesseur, avec une maniabilité un peu moins rigide, des graphismes plus fins et plus jolis, et une aventure qui a tout pour plaire. On regrettera quand même un nombre de châteaux assez limité, un bestiaire trop peu varié dans ceux-ci, et trop peu de boss. Surtout qu’ils ont oublié d’être coriaces, même Dracula qui en avait pourtant fait baver plus d’un dans le premier Castlevania.Mais sinon c’est tout bon, ne vous en privez surtout pas.