Un jeu avec des graphismes 8 bits, certes, mais, en 1990, cela était chose relativement courante sur les consoles 16 bits et ça n’a pas empêché des jeux comme Final Fantasy IV d’être excellents. Je ne prends donc pas cela comme un argument. Là où cela devient décevant, c’est le jeu en lui-même : peu attrayant, moins bien que ces prédécesseurs, une bande son « bof bof », rien d’accrocheur si ce n’est sa ressemblance avec le premier opus. Dommage.