Faisons les comptes : un héros pitoyable, des décors d’une banalité confondante (quoique j’exagère un poil, j’aime bien le dernier niveau, la jungle), trois ennemis au mètre carré, un level-design plat, des musiques insupportables, un intérêt à vous glacer les os tant il frôle le zéro absolu… C’est allemand en plus ? Ca a dû être réalisé par les producteurs de Derrick. STEPHAAAAAAAAAAAAAN !