Troisième et dernière suite de la saga Splatterhouse, ce volet inaugure de nombreuses évolutions dans le gameplay. Tout d’abord, le scrolling n’est plus uniquement horizontal, il est également possible de se déplacer verticalement, à la manière d’un Street of rage.
Autre innovation, le jeu introduit un système de power up qui vont remplir une jauge de puissance. Lorsque vous le désirez, vous pouvez activer ce power up et augmenter la portée et la puissance de vos coups durant un laps de temps limité
Désormais vous n’êtes plus tenu d’avancer coûte que coûte, mais vous pouvez aussi explorer chacun des 5 immenses niveaux, organisés comme un labyrinthe. Mais attention : Vous êtes limité en temps et il faudra trouver et tuer le boss avant la fin du chrono si vous voulez sauver votre famille des griffes des zombies. Car désormais il n’y a pas une seule mais plusieurs fins, que vous réussissiez ou pas à sauver votre famille.
Un mot du scénar: Plusieurs années après Splatterhouse 2, Rick doit à nouveau secourir sa femme et son fils, enlevés par the evil one, un gros méchant pas beau. La routine quoi
Si le gameplay a énormément évolué, les graphismes ne sont pas en reste. Mais si les 2 premiers volets sont extrêmement gores, le troisième l’est beaucoup moins. Les giclés de sang sont désormais moins impressionnantes, même si le jeu reste déconseillé aux âmes sensibles.
Exit également les montres explosés à coup de barre a mine, désormais ils meurent de manière beaucoup plus propre.
La musique est du même niveau que dans le 2, peu d’évolutions de ce coté la.
Contrairement au second volet qui s’avère totalement impossible, le 3 est nettement plus facile que ses prédécesseurs. Mais la durée de vie est malgré tout importante, arriver a finir tout les niveaux dans les délais impartis est un vrai chalenge
Pour conclure avec la trilogie
Un jeu qui clôt en beauté la série, en espérant qu’une nouvelle suite sorte un jour. Malgré un manque certain d’hémoglobine, SH3 est le digne héritier de ses prédécesseurs.