En dehors de la niaiserie - on ne peut même plus parler de naïveté à ce niveau-là - qui se dégage des aventures de cet émule de Dumbo, la fadeur des graphismes, l’absence de vie, la lourdeur de l’éléphanteau (insupportables glissades sur la moindre pente), la bande-son cacophonique et l’affreuse répétitivité de l’action finissent de me convaincre de l’impensable : maître Kenseiden s’est amouraché d’une daube !