mon dieu, je m’en suis arracher des cheveux avec ses niveaux labyrintique, surtout que le fait de manquer d’air était un stress suplémentaire. se retrouver betement coincer dans une crevasse avec quinze meduzes qui assaillent notre pauvre dauphin en manque d’air, je me dit qu’apalooza devait détester les dauphin pour nous infliger un traitement pareil. ceci étant, l’embiance est soigné avec des graph de toute beauté pour l’epoque et une bande son envoutante. Reste que le jeux est en anglais, et ca, ca peut nuire à la bonne compréhension du jeux. Et ce dernier niveaux, nom de zeus, j’ai detruit des carton de manette avec ce scroling qui défilait à toute bombe avec des passages aussi étroit que le trou d’une aiguille (à peu dchose pres….mdrrr), à consseillé donc pour ceux qui sont amateur de challenge et d’embiance zen (quoique…)