Moi pour le coup je n’ai joué qu’à celui-là, et ça suffit, merci bien.Runaway 2 fait partie de ces point’n click qui tentent de rivaliser avec leurs illustres aînés mais qui font tout de travers.Brainstorming chez Pendulo :- Comment peut-on faire chier le joueur avec une interface au stylet, théoriquement parfaite pour ce genre de jeu ?- Eh bien c’est facile, il suffit d’obliger le joueur à appuyer en plus sur un bouton pour interagir avec un objet du décor.- Oui, mais si ce con-là s’obstine à vouloir jouer à mon jeu ?- Eh bien c’est facile, il suffit de dire que pour annuler l’utilisation d’un objet, il faut à chaque fois retourner dans le sac à dos, sans quoi le héros persistera à vouloir utiliser l’objet comme un gros connard. Si avec ça il lache pas l’affaire, ton gros con…- Ben justement, y’en a encore un qui s’accorche pire qu’une moule.- Bon écoute coco, on va lui en faire une bien à l’envers comme il faut. On va prendre une carte GIGANTESQUE avec juste quatre ou cinq destinations dont une bien merdique à atteindre, y coller un personnage de deux pixels de haut et l’obliger à se déplacer pixel par pixel sur cette putain de carte. Comme ça, chaque changement de décor nécessite dix-huit minutes de rien. Et puis on va se démerder pour que le joueur soit obligé de changer d’endroit le plus souvent possible, bien sûr.Non vraiment, je préfère me faire lapider à coup de figues molles plutôt que de retoucher à un Pendulo. C’est couillon, parce que The Next BIG Thing me tentait bien, mais là c’est juste pas possible. Je mets un, mais c’est bien parce que j’ai trouvé certains décors jolis.