Ce qu'en pense Angus
4/5 — Exceptionnel !
_Another Code : 2tsu no Kioku
Développé par CING, édité en France par Nintendo le 24 juin 2005.
Appelé « Trace Memories » aux Etats-Unis._
Ashley vivait depuis ses 3 ans avec sa tante Jessica, depuis la mort de ses parents. Alors que son 14ème anniversaire approche, elle reçoit un paquet contenant un appareil ressemblant étrangement à une Nintendo DS et… une lettre de son papa !!!
Ça c’est une surprise.
Lire la suite du test de Another Code : Two Memories par Angus
Ce qu'en pense The Jedi
3.5/5 — Très bien
Un point ‘n click correct et plaisant. Les énigmes sont rarement bloquantes et bénéficiaient des nouveautés apportées par la DS : le micro pour souffler, gratter etc.
Sympathique à jouer en tous cas. Ceux qui ont aimé pourront aussi se rabattre sur « Hotel Dusk » sur la même console, par le même studio.
Ce qu'en pense Sigfrodi
3.5/5 — Très bien
Une réalisation plaisante, des énigmes relativement variées, une héroïne attachante et une bonne exploitation des caractéristiques de la DS (bonne ergonomie au stylet, sollicitation du micro). Que demander de plus? Un challenge un peu plus à la hauteur car le jeu est trop facile, ce qui entraîne une durée de vie un peu faiblarde. Un jeu agréable, qui ne restera pas dans les annales, mais qui mérite asurément le détour.
Ce qu'en pense Raeglin
3.5/5 — Très bien
Le jeu reste sympa et plaisant mais possède une histoire peu intéressante et assez niaise. Cependant les enigmes utilisent franchement bien les capacités de la DS et les graphismes ainsi que l’utilisation du stylet sont très bien foutus
Ce qu'en pense Antekrist
2/5 — Presque bien
Une approche très - trop - académique du point’n click, qui m’a un peu rebuté. Le design est très plat et fade, l’histoire assez vite larmoyante et ennuyeuse, et si les énigmes conservent une certaine logique, je ne suis pas du tout d’accord pour vanter les mérites de l’ergonomie de la machine, ici fort mal exploitée : certes, les développeurs se sont employés (acharnés même, pourrait-on dire tant cela semble artificiel) à utiliser toutes les fonctionnalités de la DS (stylet, micro, mais aussi double écran, avec la fameuse fonction de mise en pause par fermeture, qui permet d’imprimer un motif de l’écran du haut sur celui du bas), mais l’imprécision des phases au stylet, lors d’un jet ou d’un frottement par exemple, est impardonnable : un quart d’heure pour gratter la rouille pixel par pixel, j’appelle ça du temps perdu.