Le jargon des jeux vidéo te rebute ? Ce lexique est une liste de 228 définitions de mots pour aider à mieux comprendre de quoi on parle.
Bonus accordant une vie supplémentaire au joueur. On distingue principalement 2 moyens pour gagner ces 1up : trouver les bonus correspondant (exemple: champignon vert dans les Mario Bros) ou bien atteindre un certain score (exemple: vous gagnez 1up tous les 20000 points dans Tempest).
La 2D, pour 2 dimensions, est une représentation suivant 2 dimensions: la hauteur et la longueur. Ce type de représentation donne un effet d’aplatissement et l’histoire à vu naître plusieurs technique afin que la 2D puisse rendre une certaine impression de profondeur et de volume. Parmi celles-ci, on peut notamment citer la perspective et le scrolling différentiel.
Technique de rendu visuel qui permet la gestion des 3 axes de l’espace (X, Y, Z). Si les graphismes en 2D bitmap ne sont que le remplissage d’une matrice à l’aide de couleurs, l’ordinateur n’ayant qu’à reproduire l’affichage, la 3D nécessite le calcul de tout l’environnement.
Les objets, éléments de l’affichage (que ce soit un personnage ou un arbre) sont composés de formes primitives (cube, cylindres…) eux-même formés par des vertices (sommets des formes, vertex au singulier) et des splines (l’arrête d’un carré par exemple) pouvant être modifiés pour adapter la forme primitive aux besoins.On distingue, le temps passant, diverses méthodes d’affichage en 3D :- wireframe ou fils de fers : seuls les splines et les vertices sont visibles : les faces sont transparentes (Star Wars sur C64 par exemple)- faces pleines : les faces sont colorées avec une couleur unie. C’est ce qu’on rencontre le plus souvent dans les jeux du début des années 90 (Drakkhen par exemple)- 3D texturée : des textures sont plaquées sur les faces des objets et permettent ainsi le rendu de matières. Exemple : Doom- 3D avec shading : le shading permet une meilleure gestion de la réflection de la lumière sur les objets (gestion des ombres) et un meilleur rendu de la tessiture des matières. Différents types de shading existent tels que le Gouraud Shading ou le Phong Shading.On distingue également 3D temps réel et 3D précalculée. Si la deuxième a été calculée à l’avance, l’ordinateur n’ayant plus qu’à afficher le résultat, la première méthode consiste en le calcul de l’univers pendant son exploration : cela permet une meilleure interactivité (en précalculée, on ne peut se déplacer que dans les portions de l’univers qui ont déjà été calculées) mais nécessite une plus grande puissance durant le jeu.Les machines actuelles disposent de fonctions en hard permettant de soulager le microprocesseur de la majeure partie du calcul 3D, qui est très lourd. Cela a permis l’introduction de nouveaux filtres (anti-aliasing,, lens flare, T&L… ) améliorant encore le rendu visuel. Dans un environnement Windows, plusieurs API permettent de faciliter l’utilisation de la 3D par les programmeurs. Les plus connues sont Direct3D et OpenGL.
Se dit d’une vue aérienne pivotée sur 45°. Souvent qualifié de pseudo-3D, cela reste bel et bien de la 2D. La 3D isométrique offre une meilleure impression de profondeur que la 2D classique grâce un effet de vue plongeante. Parmi les jeux offrant ce type de vue, on peut citer Solstice sur NES, Cadaver ou D/Generation tous deux sur ordinateurs 16/32 bits et PC.
Littéralement : Interface de Programmation d’Application. Une API est une interface de programmation, c’est-à-dire un ensembe de librairies et de fonctions facilitant les développements et pouvant éventuellement devenir des standards (OpenGL). Les API ne sont pas forcément livrées avec des logiciels (ex : OpenGL, GTK…).
Terme désignant d’anciens logiciels souvent disponibles sur Internet. Le plus communément, on considère qu’un logiciel entre dans la catégorie des abandonwares s’il répond à un certains nombres de critères. Notamment : sa date de sortie est supérieure à cinq ans, le logiciel n’est plus disponible dans le commerce. Certains rajoutent des critères plus restrictifs comme l’indisponibilité auprès de l’éditeur lui-même ou encore l’abandon écrit par la personne morale ou réelle qui détient les droits. Dans la réalité, le terme abandonware n’existe pas au niveau juridique et la position des éditeurs à son sujet reste très variée, certains soutenant ce phénomène, d’autres le combattant. La sortie d’anciens titres sur Gameboy Advance (Super Ghouls & Ghosts ou Zelda 3) relance le débat, au détriment des supporters de l’abandonware.
Un add-on est une extension pour un jeu (PC ou Mac en général). Concrètement, il s’agit d’un programme que l’on installe après avoir installé le jeu original (qui est nécessaire), ce programme va rajouter de nouveaux modes de jeu, cartes, voitures, personnages, armes… permettant ainsi de prolonger le plaisir et de redonner un second souffle au jeu.
L’aliasing est un effet d’escalier qui peut être observé sur les lignes diagonales ainsi que toutes formes arrondies. Il est provoqué par un affichage insuffisamment précis. Cette nuisance est particulièrement visible sur les écrans disposant d’un affichage précis (type écran d’ordinateur) ou bien sur les grands écrans (et les vidéos projecteurs), les écrans de télévision traditionnel ayant un affichage « flouée », l’aliasing est moins visible (mais reste présent). Il existe 2 principaux moyens pour lutter contre cette nuisance : utiliser une résolution supérieure (sur les écrans d’ordinateurs) ou bien la méthode d’anti-aliasing.
Cette technique permet de conserver les détails sur les textures et ce, malgré les perspectives 3D ainsi que l’éloignement des décors.
L’antialiasing est utilisé dans les jeux 3D pour supprimer l’effet d’escalier (crénelage) qui apparaît sur les contours des objets 3D (uniquement). A ne pas confondre avec l’effet de flou appliqué sur les textures, il s’agit là d’un autre algorithme complémentaire. Cette fonction est très gourmande en ressource car elle va en réalité calculer des dégradés autour de l’escalier, rendant ainsi l’illusion d’une belle forme, mais provoquant également un léger effet de flou. Cette fonction prenant énormément de resources, elle n’est généralement pas présente sur les vieilles consoles telles que la N64, la Saturn ou la PSX. Néanmoins, grâce à l’émulation, il est possible de jouer aux jeux de ces vieilles consoles avec l’antialiasing activé via, en général, l’interface Direct 3D de Microsoft. Par exemple, Project 64 permet de jouer aux jeux N64 avec l’AA activé.
Désigne tout type de jeu pouvant se jouer sur une borne d’arcade. Ces jeux sont en général moins profonds et moins longs que les autres jeux, mais disposent d’un gameplay et d’une prise en main immédiate, avec des graphismes souvent exceptionnels et en très haute résolution (le but est d’en mettre plein la vue et ça marche !). On parle aussi parfois de « gameplay type arcade ». Cela veut dire que la maniabilité du jeu est intuitive et volontairement orientée vers le fun (par opposition au « gameplay de type simulation » où le but est de reproduire la réalité au plus proche).
Les artworks sont des modèles de dessin. Il servent généralement de croquis préparatoires (aussi bien dans le domaine du jeu vidéo que dans d’autres domaines). Il s’agit également d’autocollants qui étaient collé sur les écrans d’anciennes bornes d’arcades, permettant ainsi de se plonger un peu plus dans l’ambiance et d’avoir un rapide aperçu des commandes.
Type de jeu consistant principalement en la résolution d’énigmes par le joueur. Souvent confondu avec le jeu de rôle (voir RPG), il s’en différencie notamment par l’absence de gestion du personnage proprement dite et de combats. Un des types de jeux les plus anciens, le jeu d’aventure s’est différencié en de nombreux genres :- Aventure texte : le type le plus ancien, qui a quasimment disparu après 1988. Les graphismes sont totalement absents (tout est décrit par des textes) et le joueur entre ses ordres à la main ( Zork 1, 2 et 3, Leather Godesses of Phobos, Hitch Hiker’s Guide to the Galaxy)- Aventure graphique statique : le jeu dispose de graphisme non (ou peu) animés (Shadowgate, The Hobbit, Myst)- Aventure graphique animée : le genre le plus apprécié, c’est une évolution logique du sous genre précédemment cité (les jeux de Lucasarts ou de Sierra, Operation Stealth, Simon the Sorcerer)- Films intéractifs : nombreux à l’apparition du CD-Rom, ils se caractérisent par un emploi massif de la vidéo… Souvent peu intéressants, courts et très couteux à produire, les films intéractifs seront vite abandonnés. Quelques réussites tout de même : la série des Tex Murphy (Under a Killing Moon) et des Phantasmagoria, Gabriel Knight 2.- aventure 3D : après l’échec des films intéractifs, les éditeurs se sont reportés sur la 3D. Mais la plupart des jeux sont fortement orientés action, si bien que les vrais jeux d’aventure 3D restent relativement rares. Quelques exemples : Gabriel Knight 3, King’s Quest 8.
C’est le coeur d’une machine. Le bios est un programme situé dans la Rom ou l’Eeprom d’une machine. Ce dernier test le bon fonctionnement de la machine avant de charger le programme d’amorçage qui se charge du reste du démarrage de la machine. Maintenir à jour le bios permet de prendre en compte les dernières évolution matériel. Pour faire marcher certains émulateurs, il faut donc parfois une copie informatique du BIOS de la machine – c’est en général un petit fichier à rajouter dans le répertoire de l’émulateur. Exemple : NeoRageX à besoin du BIOS de la Neo Geo pour fonctionner.
Littéralement : mauvais dump. Il arrive très facilement que des erreurs se produisent lors du dump d’un jeu, ce qui donne un bad dump. Le plus souvent, le jeu semble fonctionner, mais des erreurs se produisent par la suite. La plupart du temps, un bad dump est identifié par la mention « –B » dans le nom du fichier.
Littéralement « Bat les tous ». Définit l’ensemble des jeux de type Final Fight : en gros, des types marchent dans la rue et frappent tout le monde (sans raison précise) à coup de barre à fer, de couteau de boucher et de batte de base-ball. A la fin de chaque niveau, ils rencontrent un type énorme (le boss) qu’ils se mettent aussi à frapper sans retenue (pourtant rien n’indiquait forcément que le gars était hostile, mais bon, sait-on jamais). Ces jeux sont généralement assez répétitifs et courts, mais les meilleurs d’entres eux peuvent faire passer un bon moment. Voir Final Fight III, les Tortues Ninja sur SNES ou encore Double Dragon II sur NES pour les meilleurs du genre.
Un genre de jeu assez similaire aux beat them all, à ceci près qu’au lieu d’éradiquer la population d’une ville, vous ne vous attaquer qu’à une ou deux personnes à la fois. Vous pouvez jouer contre un autre joueur ou contre l’ordinateur. Parmi les jeu les plus anciens, on peut citer IK+ qui a connu un gros succès sur ordinateurs 8 bits et 16/32 bits ou encore Street Fighter. La popularité du genre explose avec la sortie de Street Fighter II de Capcom : Ryu, Ken et ses amis prennent part à un tournoi mondial où s’affrontent les meilleurs combattants de chaque pays. Dans ce jeu, comme dans tous les jeux de ce type, vous avez à votre disposition un grand nombre de coups normaux et spéciaux. Vous pouvez en outre les combiner pour déclencher des combos meurtrières. Cette subtilité et cette richesse de coups ont fait le succès des beat them up. Le succès, énorme en salle d’arcade se confirme sur consoles et ordinateurs (notamment sur Super Nintendo). Par la suite, le genre ne dément pas son succès sur machines 32 bits grâce à une utilisation spectaculaire de la 3D : Soul Calibur et la série des Tekken en sont de bons exemples. Capcom, SNK et Namco notamment ont contribué à développer ce genre de jeu avec des classiques tels que les King of Fighter, Street of Fighter ou Soul Calibur.
Un jeu est dit en phase bêta (ou bêta-test) lorsqu’il approche de sa sortie et qu’il est quasi finalisé (enfin, en théorie), cette phase consiste principalement dans l’ajustement du gameplay et la correction de bugs. Le bêta test d’un jeu peut être privé (interne), semi-public (ouvert à tous… après sélection) ou public (ouvert à tous).
Le bit est la plus petite donnée informatique; elle ne peut prendre que la valeur de 0 ou de 1. Un processeur traite ces données par paquet de 4, 8, 16, 32, 64 bits, etc. En théorie, plus la machine peut traiter de bits en simultané plus elle sera rapide. C’est pourquoi beaucoup de constructeurs de consoles basent leur communication sur ces fameux bits (32-bits pour la PSX, 64 pour la Nintendo 64, etc.). En pratique, une machine ne peut être jugée sur son seul processeur; c’est l’ensemble des composants (processeur graphique, carte son, etc.) et leur utilisation judicieuse qui déterminera la puissance d’une machine. Par exemple, la Jaguar, bien qu’étant une 64-bits n’était pas puissante à cause de la faiblesse de ses autres composants; de même pour la 32-bits de Sega, la Saturn, dont le processeur graphique n’était pas optimisé pour la 3D.
Sous ce nom barbare, se cache le flou. Ce flou permet de cacher des défauts graphiques (comme la pixellisation), de simuler certaine conditions de santé particulières ou encore de simuler la vitesse (voir Need for Speed Underground). Bref, le blur permet autant de cacher des défauts que d’ajouter des qualités.
En musique, ce sont des enregistrements pirates de concerts. Dans le domaine de l’émulation de jeux vidéo, ça concerne la rom en elle-même. La rom provient en effet d’un support pirate (recomposé la plupart du temps) mais a l’avantage de fonctionner là où les roms normales, elles, ne marchent pas.
Se dit généralement d’un ennemi de fin de niveau qui demande un peu plus de temps et d’habileté pour être abattu. Les boss sont donc des ennemis bien plus forts et puissants que l’ennemi « de base ». Leur défaite permet très souvent de faire avancer l’histoire du jeu (notamment dans les RPG). Dans la plupart des cas, leur affrontement clôture un monde (plate-forme) ou un niveau (shoot them up). Il est en général impossible d’éviter le combat sauf si la structure du jeu le permet, ce qui est rare.Le boss est aussi le chef d’une organisation, entreprise ou association, par exemple The Jedi c’est le boss d’Emu Nova :-p
Les bots sont des joueurs virtuels propres aux FPS. Les bots apparaissent dans les parties réseaux mais sont contrôlés par l’ordinateur. Dans beaucoup de FPS, on notera que les bots sont plus intelligents que leurs homologues des parties solos.
Même définition que Fog of War.
En informatique, un bug n’a rien à voir avec un insecte. Il s’agit en fait d’un problème ou d’une erreur. Dans les jeux vidéos, les bugs sont surtout d’ordre graphique, ainsi, par exemple, vous pouvez avoir des corps « coupés » car une partie se trouve dans un mur (voir n’importe quel épisode des Tomb Raider ^^). Les bugs ne sont pas que néfastes pour l’aspect esthétique du jeu car ils peuvent nuire énormément à la jouabilité.
Cet effet permet de simuler le relief sur une texture. En effet, une texture est à la base une image en 2D, l’effet bump-mapping va simuler des ombres sur les zones supposées creuses lorsqu’une source de lumière passera sur la texture. Cet effet, bien que gourmand, permet ainsi d’afficher moins de polygones pour un objet et d’économiser les ressources sur les machines récentes (qui gère cette effet directement en hardware). Dans les jeux utilisant cette technique, on peut citer par exemple Amped, Halo, Metroid Prime, Rogue Leader…
Les bundles sont des packs spéciaux qui peuvent se séparer en 2 catégories: les packs promotionnels (pour noël…) et les packs de collection (pour les collectionneurs et les fans… malheureusement ces packs sortent surtout au Japon). Les bundles sont variés et cela peut aller de la console avec des jeux (les packs de noël ^^) au jeu avec des accessoires (tapis de dance, caméra, manette spéciale…) en passant par le jeu avec ses goodies plus ou moins utiles (CD audio, T-shirt, autocollants…).
Le byte est la plus petite unité adressable d’un ordinateur. Un byte est composé de plusieurs bits, en usage abusif on considère qu’un byte = un octet, mais cela n’est correct que si le byte est défini sur 8 bits. Tout comme les octets, les bytes n’utilisent pas la base de 10, ainsi, 1 kilo byte (ou Kb) est en réalité égale à 1024 bytes (et ainsi 1 Mb = 1024 Kb et 1Gb = 1024 Mb), d’où la différence entre les informations constructeurs (qui utilisent la base de 10) et la réalité. De nos jours, les processeurs peuvent traiter plusieurs bytes comme une seule entité, dans ce cas, cette entité s’appelle mot (les tailles les plus courantes sont 8/16/32/64 bits).
Ce sigle correspond au Consumer Entertainment Show, ancien salon du jeu vidéo ayant lieu à Chicago. Il a été supplanté il y a plusieurs années par l’E3 de Los Angeles.
Société dont le but est de sauvegarder le patrimoine software de l’Amiga.
Les disquettes ayant une durée de vie plus limitée que les cartouches ou les CD (7 à 10 ans pour les disquettes contre 150 ans pour les CD usinés!), la question de la disparition des disques originaux pour Amiga est plus que pressante.
Par un procédé spécifique, CAPS obtient des images disques absolument identiques à l’original (même le spectre magnétique et la structure de la disquette sont modélisés pour être enrgistrés dans l’image-disque). Les fichiers obtenus sont au format IPF et demandent un plug-in pour pouvoir être exploités sous WinUAE.
Quand ils sont disponibles, le manuel numérisé en PDF ainsi que les scans de la boîte du jeu et des disquettes sont inclus dans l’archive.A noter que CAPS ne s’occupe que de logiciels originaux et qu’en principe, seuls CAPS et le donateur du jeu peuvent avoir l’IPF d’un jeu. C’est pourquoi vous n’en trouverez pas sur Emu Nova.
A ce jour, 800 titres ont été traités par CAPS, dont 600 ont été certifiés TOSEC (groupe avec qui CAPS semble avoir un accord). Il semble également que la même initiative soit en train de se mettre en place concernant l’Atari ST, ce dont on ne peut que se réjouir!
Site internet : [http://www.caps-project.org]()
Terme parfois utilisé pour qualifier la marque Commodore qui distribua entre autres le Vic 20, le C64 et la gamme Amiga.
Format de fichier utilisé par Mame pour émuler les disques durs utilisés dans certains systèmes arcade. Les fichiers CHD sont extrêmement volumineux, de quelques dizaines de Mo à plusieurs giga-octets.
Le CPU est le processeur principal principal de la machine. Seul ou épaulé par d’autres CPU, il s’occupe du gros du travail en effectuant les principaux calculs et en répartissant les traitements adéquats vers d’autres processeurs spécialisés dans le son et la vidéo, par exemple. Les ordinateurs contemporains du grand public sont principalement fournis par deux fondeurs : Intel et AMD. Si la logique d’antan visait à coupler plusieurs processeurs pour gagner en puissance (plusieurs CPU), on tend à multiplier leurs coeurs (core) pour disposer de plusieurs CPU logiques et d’un seul CPU physique.
Un CRC (ou contrôle de redondance cyclique en français) est une méthode permettant de vérifier l’intégrité des données en détectant les erreurs lors de leur transmission ou duplication. Cette méthode consiste à générer un code en fonction des données (en tenant compte de leur position contrairement à un checksum) avant et après la transmission / duplication puis à comparer les 2 codes afin de s’assurer qu’ils soient identiques.
Même définition que Capture the Flag.
« Capture de drapeau » pour les anglophobes. Il s’agit d’un mode de jeu devenu un grand classique dans les FPS. Ici les joueurs sont répartis en 2 équipes, chaque équipe disposant d’une base ayant en son centre un drapeau. Le but est donc d’aller dans la base ennemie, de prendre son drapeau et de le ramener à sa base afin de marquer 1 point. L’équipe gagnante étant naturellement celle qui aura marqué le plus de point.
Le Cell Shading est un procédé de creation de texture qui produit un aspect cartoon et qui permet par exemple de mieux travailler les expressions des personnages.Le 1er jeu à avoir incorporé cette technique est « Fear Effect » sur PSone.Sega reprends plus tard ce procédé dans son jeu « Jet Set Radio » sur dreamcast et cette technique est maintenant de plus en plus plébiscité par les editeurs.On peut citer actuellement Auto Modellista de capcom , Zelda Wind Waker de nintendo et prochainement DBZ Budokai 2 d’infogrammes.
Littéralement point de contrôle. Les checkpoints sont largement utilisés dans les jeux de course orientés arcade, son franchissement augmentant votre temps alloué pour finir la course. On retrouve également les checkpoints dans les jeux de plates-formes, les FPS… dans ce cas là, la plupart du temps, vous recommencerez le jeu depuis ce point si vous mourrez.
Traduction littérale : « Vérification des sommes ».Le checksum est une valeur stockée dans une rom correspondant à la taille totale que celle-ci doit faire. Les émulateurs vérifient de plus en plus cette valeur et 2 issues sont possibles :
Systeme de jeu utilisé par les jeux d’aventure à l’époque, utilisés en majorité par LucasArts et Sierra.Comme jeux utilisant ce systeme, parmi les plus connus on peut citer Sam & Man, Maniac Mansion, Monkey Island, Operation Stealth… ou plus recemment RunAway).Le principe est que les actions sont effectués à l’aide du curseur de la souris, avec lequel, vous interagissez avec les objets ou les personnages.A l’époque, vous aviez une liste de verbe sur un fond noir en bas de votre ecran, et vous selectionniez l’action à effectuer (exemple: ouvrir > porte).Maintenant le systeme est plus evoluée, plus d’interface textuelle, lorsque vous passez votre curseur sur un objet ou un personnage, l’action la plus logique sera tout de suite proposée.
Pour les jeux en 2D, c’est la limite au-delà de laquelle le programme doit cesser de dessiner (virtuellement) les sprites et autres éléments graphiques. En gros, un algorithme de clipping indiquera au programme quand il aura atteint les bords de l’écran.Pour les jeux en 3D, c’est un peu pareil : c’est la profondeur (la ligne virtuelle) au-delà de laquelle le programme cesse de dessiner les objets en 3D. Pour masquer cette ligne, et rendre la transition moins brusque, les programmeurs ont généralement recours à une sorte de brouillard. Par exemple, les développeurs d’Acclaim ayant mal programmé le moteur 3D de Turok (sur N64), ont forcé le joueur à se perdre dans un brouillard opaque – la ligne de clipping se trouvant à dix mètres devant le joueur.
Principalement utilisé dans les jeux de combat, un combo est un enchaînement (de coups en général). Plus vous enchaînez votre adversaire, plus votre combo est élevé… et plus vous infligez de dégâts à votre adversaire. On notera que suivant les jeux, les combos s’effectuent de différentes manières : enchaînement de coups (jeux de combat), enchaînement d’ennemis abattus (shoot’em up), enchaînement de dérapages (jeux de course)…
Format de connexion vidéo. Le composite est la norme la plus répandue dans le monde, mais aussi la celle qui offre la plus mauvaise qualité d’image. Toutes les composantes de l’image sont mélangées sur une seule fiche Cinch, ce qui entraîne une très forte perte de qualité et d’importantes distorsions : image floue, couleurs saturées et baveuses, scintillement désagréable… Dés l’instant où cela est possible, il est préférable d’éviter ce format au profil du Svideo ou du RVB
La Console Virtuelle est une plate-forme de téléchargement de Nintendo pour la Wii. La Console Virtuelle propose des jeux issus d’anciennes consoles de Nintendo (NES, SNES, N64), Sega (Megadrive), SNK (Néo Géo) ou Nec (PC Engine). Ces jeux sont proposés dans leur version originale sans amélioration graphique ou ajout d’option (on regrette notamment l’absence de mode online sur des jeux comme Super Mario Kart). Les jeux sont vendus entre 5 et 10 euros. Nintendo compte lancer durant 2008 des jeux spécialement développés (par Nintendo ou d’autres studios) pour la Console Virtuelle, ces jeux répondant au nom de « Wii ware ».
Un continu est une sorte de nouvelle chance lorsque vous venez de perdre toutes vos vies (en général, vous avez autant de continue que de credit). Lorsque vous utilisez un continu, vous continuez là où vous êtes mort pour la dernière fois (ou tout du moins, pas trop loin). Cela vous évite d’avoir à tout recommencer depuis le début.
Il s’agit de jeux (ou de comics, manga, série…) issues du croisement entre différentes séries ou univers. Les cross over font la plus grande joie des éditeurs de jeux de baston avec la série des Street Fighter VS de Capcom, les KOF de SNK, les Capcom VS SNK. Mais le cross over est aussi présent dans d’autre genre de jeu comme le FPS (Aliens VS Predator), le beat’em all…
Un crédit est une partie de jeu.
En arcade, chaque pièce insérée dans la borne donne le droit à une ou plusieurs parties (le prix d’un crédit variant suivant le jeu). Ainsi, vous avez autant de credit que vous pouvez vous en payer en arcade. Sur console, le nombre de credit est limité (entre 3 et 9 en général), mais dans la plupart des jeux en usant il est possible de débloquer des credits supplémentaires (voir des credits infinis). Sur console, les jeux utilisant les credits sont principalement des shoot’em up ou des jeux de plates-formes.
Le DHCP est un protocole réseau qui a pour but de configurer automatiquement des paramètres TCP/IP d’une machine (ordinateur, console…). Pour cela, DHCP choisit automatiquement une adresse IP, un masque de sous-réseau, l’adresse de la passerelle par défaut, des serveurs de noms DNS et plein d’autres paramètres incompréhensibles pour l’utilisateur lambda. Le principal intérêt d’un tel protocole est la répercution de modifications automatiquement sur toutes les machines d’un réseau sans que l’on ait besoin d’intervenir sur chacune d’entre elles.
Tout d’abord, le dpi (ou ppp en français, point par pouce) n’a de sens que pour l’impression sur un support physique. On parle donc principalement de dpi pour les périphériques d’impression (imprimante, photocopieuse…) ainsi que pour les périphériques de numérisation (scanner…). Le dpi correspond au nombre de points qui seront imprimés sur 1 pouce (2,54 cm). Le dpi est donc le lien entre la taille en pixels d’une image et sa taille en pouce une fois imprimé.Plus le nombre de dpi est élevé, plus on a de points sur un pouce et donc, plus ces points sont fins et l’impression précise. Une image numérique (bmp, jpg, png…) ayant une taille de x pixels sur y sera toujours la même (sur un écran) qu’elle soit en 10 dpi ou 100 dpi, on ne verra la différence que lors de l’impression.On considère 300 dpi comme le standard car il s’agit de ce que l’oeil peut voir en gros plan. On peut résumer le lien entre les dpi, les pixels et la taille d’impression par cette formule :
Le DSP est un processeur exclusivement dédié au traitement des signaux numériques. Les DSP sont principalement utilisés pour le traitement du son. On retrouve ainsi des DSP dans la plupart des matériels audio-visuels (ampli, baladeurs…). Néanmoins il serait faux de restreindre les DSP aux traitements du son. En effet, les signaux numériques ont des domaines d’application bien plus variés : modems, récepteurs GPS, téléphones mobiles… Pour les consoles de jeux, les DSP sont massivement utilisés pour le traitement du son et certaines machines se sont grandement démarquées de par la qualité de ces fameux DSP (on se souviendra notamment de la SNES).
Le DVI est une connexion numérique (par opposition au VGA qui est analogique), son principal intérêt est de véhiculer les informations pixels par pixels… le DVI n’a donc d’intérêt que pour les écran LCD et plasma et s’avère inutile (par rapport au VGA) pour les bons vieux tubes cathodiques. Cette transmission permet notamment d’obtenir une image plus nette et sans perte de nuance.On peut néanmoins distinguer plusieurs type de connexion DVI :- DVI-A (DVI-Analog) qui transmet uniquement le signal analogique (pas de différence avec le VGA)- DVI-D (DVI-Digital) qui transmet uniquement le signal numérique- DVI-I (DVI-Integrated) qui transmet (sur des broches séparées) soit du numérique (comme le DVI-D) soit de l’analogique (comme le DVI-A). Ce type de prise est surtout présent sur les cartes graphiques, ce qui permet de brancher n’importe quel type d’écran (ycompris avec un adaptateur DVI –> VGA) sachant que si les écrans gèrent le numérique et l’analogique (compatibilité avec les vieilles cartes graphiques ne disposant que d’un port VGA) ils ignoreront le signal analogique.
Littéralement : combat à mort. Le deathmatch est un mode multijoueurs (contre des humains ou des bots) dans lequel le but est on ne peut plus simple : éliminer le plus grand nombre d’adversaires possible. Un joueur éliminé n’est pas nécessairement le perdant de la partie mais revient la plupart du temps à la vie après avoir crédité le score de son bourreau. Il reviendra à la vie équipé du strict minimum en un point donné appelé point de « respawn ». Les règles du deathmatch dépendent des jeux et du joueur ayant créé la partie. Ainsi la limite de temps, de victoire ou d’équipement peuvent varier du tout au tout. On notera également qu’une partie de deathmatch peut aussi bien se jouer en individuel (chacun pour soi) ou par équipe (team deathmatch).
Ensemble de librairies de programmation (API) développé pour Windows par Microsoft afin d’accélérer le traitement du multimédia et des entrées/sorties.Chaque module de DirectX est en fait un ensemble d’instructions (comme le T&L ou le lens flare) que les développeurs peuvent utiliser directement dans leurs applications. Si un matériel est apte à exploiter les instructions de DirectX (c’est-à-dire qu’il est accéléré) alors c’est lui qui gère le calcul de ces instructions. Sinon, c’est le processeur qui doit s’en charger.Parmi les modules de DirectX, citons DirectSound (gestion sonore), DirectInput (gestion des périphériques d’entrée, qui permet de ne plus avoir à calibrer son joystick par exemple) et bien sûr Direct3D.
Message situé la plupart du temps sur la page d’accueil d’un site. Il décline toute responsabilité du propriétaire au niveau du contenu du site. C’est surtout un avertissement moral, rien n’indique qu’il a une valeur légale. En gros : vous seul êtes responsable de vos actes et vous ne devez vous en prendre qu’à vous même.
Une disquette est un support de stockage magnétique amovible. En anglais on le qualifie également de « floppy disc » (disque souple, en opposition avec les disques durs). Les disquettes ont connu des formats extrêmement variés aussi bien en taille physique (de 8 » pour les premières à 2 » pour les plus petites) qu’en tailles (de 80ko pour les premières à plusieurs centaines de Mo pour les dernières). La disquette la plus commune est la fameuse 3 »½ (développée par Sony, les dernières version atteignant 1,38Mo) lancé en 1984 et qui finira par « mourir » à cause des clefs USB et autres cartes mémoires flash plus petites et bien plus performantes (aujourd’hui les lecteurs disquettes 3 »½ sont encore disponible chez certains constructeurs… en option).
Le doujin est un équivalent japonais du freeware et du shareware. Contrairement a ce qui se passe en occident, le doujin n’est pas uniquement l’apanage des amateurs, de nombreux éditeurs réputés proposent également ce type de produit.
Un driver (ou pilote en français) est un composant logiciel permettant d’utiliser correctement et de manière optimale un périphérique ou un composant. Concrètement, le driver va se charger de la communication entre le composant et l’O.S. de l’ordinateur (qui fera lui-même la jonction avec les autres composants ainsi qu’avec l’utilisateur). Les drivers sont généralement en constante évolution, les nouvelles versions permettant d’accroître les performances, de résoudre certains bugs ainsi que d’ajouter de nouvelles fonctions.
Initiallement, le dump est le fait de transférer les données d’une cartouches, disquette de jeu sur un support informatique sous forme de fichier interprétable par un émulateur. Ces technique varient d’une machine à l’autre et nécessitent parfois des outils très spécialisés.
Le dumper est un système électronique qui joue le rôle d’interface entre la cartouche et l’ordinateur pour que l’ordinateur soit à même de lire les données contenues sur la cartouche et les sauvegarder sous forme d’un fichier nommé ROM, et qui est lisible par un émulateur. Un logiciel permet de commander le dumper depuis l’ordinateur, afin que celui-ci lise les données de la cartouche et sauvegarde les données.Au final, un dumper permet d’obtenir une ROM jouable sur PC à partir d’une cartouche de jeu. C’est donc une sorte de « lecteur de cartouche de jeu » un peu particulier car il a l’avantage de pouvoir communiquer avec un PC via un logiciel adapté.
Ce sigle signifie Electronic Consumer Trade Show. C’est le salon européen du jeu vidéo, salon ayant lieu à Londres. De tous les salons, c’est le moins important.
Ce prononce « E3 » (ou « i cube » pour les anglophiles). Sous ce sigle se cache l’Electronic Entertainment Expo (d’où E3) qui est le salon du jeu vidéo se déroulant à Los Angeles (actuellement il s’agit du plus grand salon annuel).
Une Eeprom est une sorte de rom mais qui partage certaines caractéristique des mémoires flash dont, notamment, la possibilité d’être mis à jour.
L’émulation est le fait de faire fonctionner un système (un PC par exemple) comme un autre système non-compatible (une console par exemple) par le biais d’un programme appelé émulateur. Le système peut alors lire des programmes qui ne lui était, à l’origine, pas destiné. Exemple : un émulateur comme ZSnes lit chaque instruction SNES à partir d’une rom, et la convertit ensuite en une instruction compréhensible par le PC. Ce processus de traduction d’instructions demandant beaucoup de ressources, il faut, pour lire un programme en provenance du système A sur un système B, que le système B soit 10 ou 20 fois plus puissant que le système A ! (ça dépend en fait de la qualité de l’émulateur)
L’émulation est le fait de faire fonctionner un système (un PC par exemple) comme un autre système non-compatible (une console par exemple) par le biais d’un programme appelé émulateur. Le système peut alors lire des programmes qui ne lui était, à l’origine, pas destiné. Exemple : un émulateur comme ZSnes lit chaque instruction SNES à partir d’une rom, et la convertit ensuite en une instruction compréhensible par le PC. Ce processus de traduction d’instructions demandant beaucoup de ressources, il faut, pour lire un programme en provenance du système A sur un système B, que le système B soit 10 ou 20 fois plus puissant que le système A ! (ça dépend en fait de la qualité de l’émulateur)
Caractérise les jeux d’action en 3D subjective consistant généralement au dégommage frénétique de monstres avec des armes diverses et parfois exotiques (comme le shrinker de Duke Nukem 3D qui rétrecissait les monstres) On parle aussi parfois de Doom likes et de Quake likes. La différence est simplement technique (mais visuellement énorme) : dans le premier cas, les ennemis sont des sprites en 2D zoomés. Dans le second cas, les ennemis sont de véritables objets en 3D, ne souffrant donc pas de pixellisation quand on se rapproche d’eux et mieux animés. Historiquement, Ultima Underworld est le premier jeu à utiliser la technique des doom-likes même si Wolfenstein 3D a davantage marqué les esprits.C’est un des genres les plus populaires, surtout sur PC, depuis maintenant une bonne dizaine d’années. Parmi les jeux les plus marquants, on peut citer Doom 1 et 2, la série des Quake, Duke Nukem 3D ou encore Hexen 2…
Le firmware est un « logiciel » enregistré dans une mémoire permanente (qui ne s’efface pas lorsque l’alimentation est coupée) comme une Eeprom. Le firmware permet de déterminer le comportement de l’appareil dès sa mise sous tension (activation des systèmes et mécanismes, voyants, signal sonore…). Le firmware n’est pas une exclusivité des ordinateurs ou des consoles, ainsi, on peut retrouver des firmwares dans des appareils aussi commun que des lecteurs DVD de salon, des lave-vaisselle, des téléphones portables…
Même définition que Disquette.
Floppy Drive fait référence au lecteur de disquettes.
Un flyer, ou prospectus en anglais, est une affiche de publicité. Il faut savoir que même les jeux d’arcades ont le droit à leurs flyers (tout du moins au Japon et, dans une certaine mesure, aux USA).
Le brouillard de guerre est un concept propre aux jeux de stratégie. Le brouillard de guerre cache l’activité qu’il peut y avoir sur la carte. Sans brouillard de guerre, il suffit d’explorer une seule fois la carte pour voir tout ce qu’il se passe (tel un dieu). Avec le brouillard de guerre, il faut conserver des unités / bâtiments pour voir ce qu’il se passe ce qui est bien plus proche de la réalité.
Le nombre de frags correspond au nombre de fois où un joueur en a éliminé d’autres dans une partie de FPS. En principe, le score augmente de 1 à chaque élimination et réduit de 1 lorsque le joueur s’autodétruit par la déflagration de son propre tir ou après être tombé dans un puis sans fond. Fraguer un adversaire revient à lui faire mordre la poussière en gagnantun point.
Même définition que Pixel shading.
On utilise parfois le terme anglais frame pour désigner une image dans une animation.
Le frame rate correspond au taux d’images ou plus simplement au nombre d’images par secondes. Plus le frame rate est élevé, plus le jeu est fluide (un frame rate normal tourne entre 50 et 60). Dans la plupart des émulateurs, il est possible de limiter le frame rate afin d’éviter à avoir un jeu accéléré.
Un freeware est un logiciel gratuit. Néanmoins, attention à ne pas faire l’amalgame avec les logiciels libres (free signifiant aussi bien gratuit que libre en anglais). En effet, un logiciel libre est un logiciel dont le code source est disponible pour tout le monde ce qui permet à n’importe quel programmateur d’améliorer et/ou de personnaliser le logiciel à ses besoins. Or, un logiciel libre peut tout de même être payant, de même un freeware peut très bien être le fruit d’une société.
Interface additionnelle et/ou complément d’un émulateur. Il se base dessus et permet une gestion plus intuitive de l’émulateur, souvent par le biais d’une interface graphique améliorée ou même ajoutée (quand celle-ci est inexistante à l’origine) sans pour autant altérer l’émulateur. Ce sont essentiellement les émulateurs Open-Source qui en bénéficient, le code étant public, il est plus aisé de programmer ces logiciels complémentaires mais en aucun cas indispensables.
Il ne s’agit pas d’une norme mais d’un label propre à la Communauté Européenne mais contrairement au label HD Ready, il n’y a pas eu de véritable concertation entre les différents industriels. Pour pouvoir obtenir ce label, un écran doit être capable d’afficher une image en 1080i, ce label est donc un peu trompeur puisqu’un écran Full HD ne gère pas forcément le 1080p. En effet, l’affichage en 1080i nécessitant moins de puissance de traitement, un écran Full HD ne gérant « que » le 1080i aura donc un coût moins élevé.
Regroupement sur un site, dans une archive ou un dossier de toutes les roms existantes pour une machine donnée.
L’une des dernières évolutions des consoles portables de la famille des Game Boy de Nintendo. Elle succède aux Game Boy (GB) et Game Boy Color (GBC).
Le GD-ROM est un format de disque optique développé par Yamaha et utilisée sur la Dreamcast de Sega. D’une capacité de 1Go et non lisible par un lecteur CD Rom, ce format devait empêcher la copie illégale des jeux Dreamcast et offrir de meilleures performances qu’un CD classique. La découverte d’une faille dans la console permettant d’en extraire le contenu et l’essor fulgurant du DVD a rendu le GD-ROM très rapidement obsolète, seul les systèmes arcade de Sega utilisent encore ce support à l’heure actuelle.
Le GPU est un processeur exclusivement dédié au traitement des calculs graphiques. Avec l’avènement de la 3D dans les années 1990 et de ses calculs très complexes et spécialisés, le GPU est devenu un élément tout aussi important que le CPU dans les différentes configurationsmatérielles, tant sur PC que sur console ou en arcade.Ces processeurs peuvent également être accompagnés de mémoire vive dédiée afin d’y stocker directement les textures et d’y accéder rapidement.
Définit toute interface ou surcouche graphique avec laquelle l’utilisateur peut interagir à l’aide d’un pointeur, une souris dans la majorité des situations. Une GUI, ou interface graphique, est généralement composée de boutons, d’images et d’icônes. Une GUI s’oppose à une interface « texte » dans laquelle les interactions ne s’effectuent qu’à l’aide d’un dispositif de frappe, le clavier par exemple.L’utilisation d’une GUI est souvent beaucoup plus explicite pour un utilisateur novice mais consomme davantage de ressources qu’une interface texte.
Le game over, ou, en français, fin de partie arrive lorsque vous avez perdu toutes vos vies et/ou vos continues. Attention, bien que tous les jeux arcade ont un game over, ce n’est pas le cas des jeux consoles (jeux de course par exemple).
Même définition que Joypad.
Terme assez précis en anglais et qui ne possède pourtant aucun équivalent en français, le gameplay c’est ce qui différencie un film d’un jeu vidéo : ce ne sont ni les graphismes, ni le son, ni les personnages, ni le scénario mais tout le reste. Le contrôle du personnage, les actions que le joueur peut effectuer, la façon avec laquelle il peut interagir avec l’environnement et, d’une façon générale, tout ce qui est sous le contrôle du joueur, c’est le gameplay. Bref le gameplay, c’est le JEU, le coeur du jeu vidéo. Le reste c’est un peu de cinéma, de littérature ou de musique. Certains éditeurs, tel que Nintendo, centrent leurs jeux autours de ce fameux gameplay tandis que d’autres jugent (curieusement) que c’est un élément accessoire. C’est par exemple le cas de Square qui a parfois tendance à faire des jeux qui ressemblent plus à des films qu’à des jeux.
Librairie d’accélération 3D spécifique aux cartes graphiques Voodoo de 3dFX. Particulièrement véloce à l’époque et disposant d’un excellent rendu (malgré un anti-aliasing un peu trop prononcé), il a été la grande force des Voodoo 1 et 2. Glide a rapidement perdu du terrain face à Direct3D avec l’essouflement de 3dFX. Le rachat par n’Vidia puis la dissolution de 3dFX en 2001 a mis un terme à l’existence de Glide.
Programmes dont le but est de transformer les instructions Glide en instructions Direct3D ou OpenGL (et destinés donc aux cartes graphiques non Voodoo). Evidemment, ce sont des programmes consommant énormément de ressources machine, puisqu’ils fonctionnent sur le principe d’un émulateur. Les glide wrappers ont connu leur heure de gloire lors de la sortie de l’émulateur N64 UltraHLE, utilisable dans un premier temps uniquement avec Glide. La disparition progressive de Glide et l’arrêt du développement de UltraHLE ont mené à l’extinction de ce type de programmes.
Un jeu est dit gold quand il part à la duplication, dernière étape avant son expédition aux magasins.
Il ne s’agit pas d’une norme mais d’un label propre à la Communauté Européenne qui résulte de la concertation entre les différents industriels de l’EICTA (European Information & Communications Technology Industry Association). Pour pouvoir obtenir ce label, un écran doit normalement respecter les conditions suivantes :- Un format d’image 16:9- Une résolution améliorée de l’image avec 720 lignes minimum en natif- Disposer de connectiques numériques HDMI ou DVI (disposant du protocole HDCP)- Accepter les formats vidéo 720p ou 1080iMalheureusement ces conditions sont auto-contrôlées et c’est donc le fabricant lui-même qui appose ou non le label sur son écran.
Le HDCP (à ne pas confondre avec DHCP qui n’a pas rien à voir :p ) est un système de protection conçu à Hollywood et implanté dans les Blue-Ray et HD-DVD. Si cette protection est activée sur un film (il l’est déjà sur une grande partie) lorsque le signal est numérique, le seul moyen de regarder le film en Haute Définition est d’utiliser un matériel et une connectique compatible HDCP. Ce système n’est donc actif que sur les connectiques DVI et HDMI. Si l’on n’utilise pas de matériel compatible (moniteur, TV, ampli…), vous aurez un joli écran noir !!! On notera que si le signal passe en analogique (YUV ou autre), cette protection est désactivée.
Dans le domaine de la connectique, le HDMI est actuellement ce qui se fait de mieux et est destiné à devenir la péritel du futur. D’une taille semblable à une prise USB, il permet de véhiculer une image en haute définition numérique sans perte (jusque 1080p) ainsi que le son. Dans sa dernière version (1.3), le HDMI supporte même les flux audio de très haute qualité que l’on retrouve sur les films Blue-Ray et HD-DVD. Enfin, le HDMI est l’une des seules connectiques (avec le DVI) à supporter la protection HDCP.
Le format TVHD (TV Haute Définition) offre une plus grande qualité d’image. L’image est numérique (au contraire de « l’ancienne TV normale » qui est en analogique) et standardisée en 16/9ème ainsi qu’en plusieurs définitions :- La résolution standard : SDTV en 480i (480 ligne entrelacées)- La résolution améliorée : EDTV (enhanced) en 480p (progressif)- La haute résolution : 720p, 1080i et 1080pPour pouvoir bénéficier de la qualité d’image de la haute définition il faut néanmoins disposer d’un écran (ou d’un vidéo projecteur) HD Ready ou Full HD. Le tableau récapitulatif ci-dessous montre les différentes résolutions de la TVHD (plus la résolution PAL a titre indicatif).
Pour rappel, un affichage est dit entrelacé lorsque l’écran affiche successivement les lignes paires puis les lignes impaires, ils faut donc 2 balayages pour avoir une images complète (cela peut causer un scintillement). En affichage progressif, l’écran affiche toutes les lignes, un seul balayage suffit donc pour obtenir l’image complète. Le 1080p est donc actuellement ce qui se fait de mieux, néanmoins, de par sa nature il exige beaucoup de puissance (donc un matériel coûteux pour regarder, mais également pour enregistrer) ainsi qu’un travail bien plus exigeant (les développeurs de jeu doivent faire plus de travail que pour le 1080i). Aux US, cette nécessité de puissance s’est traduite simplement pour la télévision : en général les émissions sportives se tournent vers le 720p (fluidité) tandis que les émissions du genres Ushuaïa Nature / National Geographic optent pour le 1080i (qualité d’image).
Terme parfois employé pour qualifier les Action-RPG dans la veine de Diablo.
On parle de hardware quand on parle de tout l’aspect matériel et physique d’une machine (on peut toucher du hardware contrairement au software). On parle également de traitement effectué en hardware, cela signifie que les calculs complexes sont directement effectués par les composants. Un traitement hardware est bien plus rapide qu’un traitement software, néanmoins, le hardware n’étant pas évolutif en lui-même (seuls ses bios, driver, firmware le sont) il est plus difficile de l’améliorer et de le faire évoluer.
Même définition que Masque de collision.
Un homebrew est un logiciel / jeu fait par des « amateurs ». On parle en général d’homebrew pour des logiciels non-officiels développés pour des consoles. On peut aussi bien trouver des jeux 100% inédits que des portages, des émulateurs ou des logiciels divers (lecteur de vidéos, mp3…).
Une IA est une intelligence artificielle. Cette dernière permet de simuler le comportement d’adversaire et, ainsi, permet de jouer en solo dans des jeux de combat, de course… Techniquement, on peut distinguer 2 principaux types d’IA, les premiers ont un comportement fixent et feront toujours la même chose et ce, quelque soit les actions du joueurs (par exemple les voitures qui roulent comme sur un rail dans un jeu de course), cette sorte d’IA est la plus simple à programmer mais également la plus basique. Le second type d’IA a un comportement qui s’ajuste ou tout du moins qui prends en compte le comportement du joueur. Ainsi, dans un jeu de course, les concurrents feront plus attention à votre trajectoire, dans un jeu de combat, votre adversaire s’adaptera à votre style de jeu… Beaucoup plus difficile à programmer, et demandant plus de ressource, ce type d’IA rends également les jeux beaucoup plus vivant et réaliste.
L’ICT est un système de dégradation d’image. Développé pour les Blu-Ray et HD-DVD, il s’utilise en complément avec le HDCP. En effet, la protection HDCP n’est active que sur les interfaces numériques (DVI ou HDMI), donc si l’utilisateur passe par des interfaces analogiques (VGA ou YUV), il n’y a plus la protection. Pour compenser cela, le système ICT dégrade l’image (en imposant une définition standard) si l’utilisateur utilise une interface analogique. Les industriels ont pourtant décidé de reporter l’activation de ce système à 2012 (en supposant qu’il soit activé un jour).
Une iso est une sorte d’image ou de photo d’un disque. Tout le contenu du CD ou DVD est ainsi regroupé dans un seul fichier. Néanmoins ces fichiers ne sont pas toujours exploitables directement et ils servent principalement à la gravure, en effet, le logiciel de gravure reproduira l’image sur le format vierge donnant ainsi un CD (ou DVD) quasiment identique à l’original. On distingue plusieurs formats d’iso qui sont soit des standarts, soit des formats propriétaire propre à certains logiciels de gravure.
Technique graphique permettant d’augmenter la résolution d’un jeu sans obtenir un aspect pixélisé. L’algorithme d’interpolation complète les informations manquantes lors du redimensionnement en interpolant les valeurs de chaque paire de pixels - par exemple entre un pixel noir et un pixel blanc, il mettra la moyenne des deux c’est-à-dire un pixel gris - pour finalement donner un aspect plus lissé à l’image. Cette technique est également utilisée pour lisser les textures dans certains jeux en 3D (cf. les jeux Nintendo 64 par exemple).
Norme de connexion utilisée dans les bornes d’arcade, permettant l’utilisation de n’importe quel jeu à ce format sur une borne standard. Avant la création de cette norme au milieu des années 1980, les jeux d’arcade ne pouvaient être utilisés qu’avec le meuble pour lesquels ils étaient conçus. On parle dans ce cas de jeu non-JAMMA
Il s’agit tout simplement d’une manette. Un joypad est caractérisé par des boutons directionnels (comme la croix multidirectionnelle de Nintendo). Depuis la génération 32 bits une race hybride entre joypad et joystick s’est imposé avec des boutons directionnel ainsi qu’un (ou plusieurs) stick analogique.
Littéralement « bâton de joie ». Derrière ce terme anglais se cache un manche à balai. Un joystick est caractérisé par son stick qui peut être digital (on appuie ou on n’appuie pas) ou analogique (variation des mouvements). On peut tout de même distinguer 2 sortes de joystick : les « stick arcade » (énorme pavé de plusieurs kilo avec lequel on joue aux shoot’em up et autre beat’em all en arcade) et les joystick de simulation aérienne (les « vrais » manches à balai dont le stick a une ergonomie pensé pour qu’on le tienne à pleine main).
Un juggle est un combo qui s’enchaîne tant que l’adversaire est en l’air. L’idée principal du juggle est de tapper l’adversaire lorsque ce dernier est toujours en l’air et ne peut pas parer/esquiver les coups.
Un LAN est un réseau local qui relie plusieurs ordinateurs. Par extension, on parle également de LAN-party qui est un rassemblement de nombreux participants pour pratiquer du jeu en réseau.
Le lag (décalage en anglais) permet de déterminer la qualité d’une connection pour les parties de jeux en réseau. Plus le lag est élevé plus il y aura de décalage entre les évènements (dù à la durée de transmission des données) et donc, plus la connection est mauvaise.
Halo lumineux visible lorsque l’on observe une source de lumière (comme des éclairages ou plus simplement le soleil) à travers un objectif (caméra, appareil photo, jumelles…).
Même définition que Niveau.
Le level design correspond à la conception des niveaux. Par conception on ne parle pas que de l’aspect esthétique mais plutôt de l’architecture même, de l’enchainement des couloirs, salles… on peut également considérer que la location des ennemis (au début de la partie) fait partie du level design. Il n’y a pas de level design parfait, cela dépends de l’ambiance et de l’orientation du titre : dans certains cas des niveaux tordus avec des ennemis parfaitement éparpillés seront parfait (jeux d’infiltration) alors que dans d’autres cas, des vagues d’ennemis dans de larges aires plus ou moins découvertes seront plus adéquates (guerre « de masse »).
Le levelling est une « activité » consistant à faire monter en expérience et donc en niveau son/ses personnages. Dans certains jeux, le levelling est une phase impossible à éviter et fait partie intégrante du gameplay alors que dans d’autre elle reste facultative (en général quand le jeu calque le niveau des ennemis sur le votre).Cette pratique est caractéristique des RPG à l’ancienne et nécessite parfois des heures de combats pour espérer terrasser un boss. Ca peut être vu comme une pratique destinée à gonfler artificiellement la durée de vie d’un jeu.
Le line-up est une liste de jeux qui seront alignés lors d’un évènement comme un salon (E3, ECTS, TGS…) ou lors du lancement d’une nouvelle console. Dans ce dernier cas, le line-up est très important car ce sera lui qui décidera en grande partie du succès du lancement de cette dernière.
Le câble Link est un cable permettant de relier 2 consoles Game Boy (ou plus) afin de profiter de mode multijoueurs. Néanmoins, les modes multijoueurs utilisant ce type de cable nécessite également plusieurs consoles ainsi que plusieurs exemplaires du jeu en général.
Le Live Arcade est une partie spécifique du MarketPlace de Microsoft. Le Live Arcade propose des jeux développés par des studios indépendants, cela permet notamment à ces studios de pouvoir vivre grâce à des coûts bas et de les vendre à des tarifs compétitifs (entre 5 et 12 euros). On trouve également le portage d’anciens jeux tel que Street Fighter II, Sonic ou Galaga, ces derniers sont généralement proposé avec des ajouts tels que des graphismes améliorés, un classement mondial ou des modes multi-joueurs online. Tous ces jeux sont disponible en démo jouable gratuitement, il arrive également que les développeurs proposent (et/ou abusent) des suppléments pour leurs jeux (payant ou non).
Le MIPS correspond au nombre d’instructions qu’un processeur est capable d’effectuer en 1 seconde. Cette mesure permet de comparer facilement et de manière fiable 2 processeurs de même architecture. Dans le cas de processeurs d’architecture différente, cette mesure s’avère moins fiable car elle ne prend pas en compte les différentes spécificités de chacun d’entre eux.
Sous ce terme barbare se cache les jeux de rôle en ligne massivement multijoueur. Ces jeux (comme Everquest ou Ultima Online) se déroulent dans un univers persistant (le jeu continue même lorsque votre machine est éteinte) et ne sont jouables que sur Internet.
Une Mame Cab est une borne d’arcade (Arcade Cabinet en anglais) modifiée ou créée de toutes pièces dans le but d’accueillir un PC doté d’un émulateur en lieu et place des cartes électroniques d’origines, le but de l’opération étant bien évidemment de pouvoir jouer dans des conditions identiques à celles d’une borne originale sans devoir dépenser des fortunes dans l’achat de jeux d’arcade.
Une map est une carte sur laquelle on joue. En général on parle de map pour les RTS ou les FPS (mais il arrive qu’on parle de map pour d’autre style de jeu, même si ce n’est pas le terme le plus approprié). Plus une map est grande, plus elle peut accueillir de joueurs, néanmoins, une map de petite ou de moyenne taille bien structuré s’avère souvent bien plus intéressante qu’une grande mal réalisé et présentant peu d’intérêt. Pas mal d’éditeurs de jeu PC mettent à disposition des joueurs des éditeurs de map (surtout dans les RTS), permettant ainsi aux joueurs de réaliser leurs propres maps qu’ils pourront partager.
Le Marketplace est la plate-forme de téléchargement principale de la Xbox 360 de Microsoft. Elle propose du contenu téléchargeable gratuit et/ou payant et englobe le Live Arcade. Ce contenu peut aussi bien être des vidéos (trailers, films), des musiques, des démos jouables ou bien du contenu supplémentaire (nouvelles cartes/voitures/modes…).
Le marquee, ou auvent en anglais, d’une borne d’arcade est en fait le petit morceau de carton/plastique qui sert de logo au dessus de l’écran. Il peut tout aussi bien indiquer une marque que le nom d’un jeu (celui qui tourne sur la borne généralement).
Le masque de collision correspond en général à la zone dans laquelle les tirs ennemis (et le décor) vous infligent des dégâts (ou vous détruisent la plupart du temps), concrètement, il s’agit de la zone d’interaction entre vous (et/ou votre véhicule/monture) et le reste du monde (on a donc aussi des masque de collision dans les jeux de course). Le masque de collision peut être plus grand que vous (si le masque est un carré/rectangle dans lequel est dessiné votre appareil par exemple), de la même taille ou même plus petit (comme dans les shoot’em up Gigawing 1&2 où le masque de collision ne faisant que quelques pixels correspond à votre cockpit).
Un mecha est un immense robot (surarmé de préférence) à l’apparence plus ou moins humanoïde. Les mecha sont surtout présent dans la japanimation (Evangelion, Goldorak, Gundam, Macross…) ainsi que le jeu vidéo (Armored Core, Mechwarrior, Virtual On, les jeux dérivés des séries…).
Un microprocesseur est un processeur dont les composants ont été suffisamment miniaturisés afin que l’ensemble de ses derniers tiennent sur un circuit intégré. La création des microprocesseurs a permi notamment un gain de taille (ce qui se répercute sur la taille des machines), un gain de performance (la distance entre les composants étant réduite) et un coût réduit (un seul circuit intégré au lieu de plusieurs). Le premier microprocesseur fut fabriqué par Intel en 1971.
Un mod est un programme développé par des « amateurs ». Ce programme est une modification du jeu original, ces modifications concernant le gameplay, les graphismes… sont en général réalisées avec un SDK. Les mods (gratuit en général) permettent de nouvelles approches du jeu, l’adaptation d’un univers spécifique (Star Wars)… L’un des mods les plus célèbres est Counter Strike pour le jeu Half Life.
Mode graphique usé et abusé pour simuler la 3D sur Super NES et maintenant, sur Game Boy Advance. Il fournit des fonctions graphiques avancée pour l’animation des sprites : rotation et zoom notamment. Bien utilisé, le mode 7 permet par exemple des survols de paysages virtuels, d’avancer dans une ville en « 3D », le tout en n’utilisant pourtant que des éléments 2D.
La motion capture est une technique très sophistiquée permettant d’enregistrer les mouvements du corps d’un acteur grace à des capteurs, les mouvement sont donc reproduits à l’identique sur un personnage virtuel.
Cette technologie offre des mouvement tres réalistes.Parmi les précurseurs de cette technique, on peut citer « Prince of Persia », « Another World » et « Flashback«
Sortit en 1998, le Naomi est l’un des nombreux systèmes arcade de Sega. Ses spécifications sont fortement inspirées de la Dreamcast, mais avec deux fois plus de RAM et une partie vidéo nettement plus avancée, le Naomi dépasse de loin la console de salon. Véritable bombe technologique en son temps, il succède au Model 3 qui était déjà très performant, tout en restant abordable grâce à son système de cartouches amovibles qui permet de changer de jeux à moindre frais, ainsi que ses possibilités d’extension inédites dans le monde de l’arcade. La gamme fut complétée par la suite par un lecteur de GD rom ainsi qu’une évolution encore plus puissante, nommée Naomi 2Pour l’anecdote, l’acronyme Naomi signifie en anglais New Arcade Operation Machine Idea, et signifie aussi « Beauté absolue » en japonais.
Première console 8-bits de Nintendo. Egalement connue sous le nom de Famicom au Japon.
Même définition que PNJ.
Concrètement, il s’agit de la norme télévisuelle qui est utilisée aux Etats-Unis et au Japon. Les principales caractéristique du NTSC sont un affichage sur 525 lignes, le tout à une fréquence de 60 Hertz (soit 30 images/s).
Le Nintendo Wi-Fi Connection est la plate-forme online de Nintendo pour la DS et la Wii. Il permet de jouer en ligne gratuitement. Ce service permet également de télécharger du contenu sur DS comme des grilles supplémentaires pour Picross DS.
Le service a opéré de 2005 à 2014. Suite à quoi il été remplacé par le Nintendo Network.
Le niveau d’un personnage correspond à son expérience accumulée. Plus un personnage est d’un niveau élevé, plus il est fort, résistant, doué pour la magie… en montant en niveau un personnage peut également acquérir de nouvelles capacités et compétences tout en améliorant ses anciennes. Enfin, en montant en niveau il peut devenir capable d’utiliser des objets plus puissants.
Cela peut constituer une part importante du gameplay (comme pour la série des Megaman). Il peut également arriver que l’enchaînement des niveaux dépende des performances du joueur (comme dans Border Down) ou bien soit complètement aléatoire.
Littéralement : Système d’Exploitation.
L’O.S. est le programme de base d’une machine. C’est en effet lui qui permet la communication entre les différents éléments, il sert également d’interface avec l’utilisateur. Un O.S. peut être principalement de 2 types : de type texte (comme MS DOS…) ou bien graphique (comme Windows, Linux, Mac OS…).
L’octet est l’unité de mesure de base de volume de données. Un octet est composé de 8 bits (0 ou 1) ce qui lui permet de prendre une valeur entre 0 et 255 (pour la conversion en décimales, on utilise les puissances de 2, ainsi, 11101100 correspond au nombre 128+64+32+8+4=236 par exemple). Les octets n’utilisent donc pas la base de 10, ainsi, 1 kilo octet (ou Ko) est en réalité égale à 1024 octets (et ainsi 1 Mo = 1024 Ko et 1Go = 1024 Mo), d’où la différence entre la capacité de stockage donnée par les constructeurs (qui utilise la base de 10) et la capacité de stockage réelle (ainsi, une disquette 3’5 ne fera jamais 1,44 Mo mais 1,38 Mo).
Littéralement « en ligne ». Un jeu jouable online est un jeu qui peut se jouer via Internet à plusieurs, ainsi, vous pouvez jouer avec vos cousins et autres amis qui habitent à l’autre bout de la France… mais rien ne vous empêche de jouer contre des joueurs d’autres pays (comme des américains ou des japonais), cette capacité de jouer online avec d’autres joueurs vous permettra de presque toujours trouver quelqu’un pour jouer, et ce, à n’importe quelle heure. Bien qu’il soit très développé sur PC, le online n’en est encore qu’à ses débuts sur consoles après avoir connu un démarrage très timide avec les Saturn et Dreamcast.
Un logiciel open source (ou logiciel libre) est un logiciel dont le code est disponible pour tout le monde ce qui permet à n’importe quel programmateur d’améliorer et/ou de personnaliser le logiciel à ses besoins. Néanmoins, un logiciel libre n’est pas pour autant gratuit, l’un des meilleurs exemples est l’O.S. Linux, en effet grâce à ses codes sources libre, il en existe des tas de différentes versions aussi bien des gratuites que des payantes (commercialisées par des sociétés comme Novell ou Red Hat).
Librairie d’accélération 3D développée par un consortium animé notamment par Silicon Graphics Inc. Plus ancienne que Direct3D, OpenGL dispose de moins de filtres mais consomme moins de ressources et est plus flexible (les développeurs peuvent plus facilement y greffer des routines complémentaires comme le Ghoul Engine utilisé dans Soldier of Fortune). De fait, l’API a été essentiellement utilisée pour les Quake-likes. Un support exécrable d’OpenGL par la plupart des cartes graphiques aux débuts de l’accélération 3D lui a fait prendre un gros retard face à Direct3D. A noter qu’il existe une version professionnelle d’OpenGL, massivement utilisée.
Ce sigle signifie « Phase Alternate Line ». Il s’agit de la norme télévisuelle européenne, au passage, il s’agit également de la norme la plus utilisée au monde. Les principales caractéristique du PAL sont un affichage sur 625 lignes, le tout à une fréquence de 50 Hertz (soit 25 images/s). A noter que ce système offre une image légèrement inférieure en qualité au SECAM, mais dispose d’un son meilleur.
Il s’agit d’un personnage a priori non jouable et faisant office de figurant. Ces personnages sont fréquemment employés dans les RPG ou les jeux d’aventure à des fins d’interaction. Ils peuvent en effet être amenés à débloquer des quêtes secondaires et participer à l’évolution de l’histoire. Certains PNJ peuvent même vous suivre et combattre à vos côtés. Leur utilité dépend aussi bien souvent de l’IntelligenceArtificielle (IA) dont ils ont été dotés par les développeurs des jeux. Certains PNJ sont donc là pour aider le joueur mais aussi et surtout pour rendre l’univers du jeu plus vivant. Dans certains jeux massivement jouables en ligne (MMO), des PNJ sont même dirigés par des êtres humains pour animer ou guider les joueurs.
Même définition que DPI.
Nom de la future plate-forme multimédia de Sony basée autour de la Playstation 2. Il s’agira donc d’une Playstation 2 équipée d’un disque dur de 120 Go, d’un graveur de DVD à la norme DVD±RW/-R. Elle disposera également d’une interface USB 2.0, d’une interface pour les cartes mémoires Sony Memory Stick (qui remplaceront les cartes mémoires de la PlayStation 2), et d’un tuner télévision.Sortie prévue pour la fin 2003 au Japon, et pour 2004 aux Etats-Unis et en Europe graphiques et des contrôleurs pour les manettes. Lors du développement, cette PlayStation modifiée pris pour nom de code PlayStation eXtended (« étendue ») abrégée en PSX. Lors de sa sortie, elle fut renommée simplement « Sony PlayStation » mais comme pour alors la console était connue dans tous les magazines sous son nom de code PSX, l’abréviation fut souvent conservée et réutilisée.
Même définition que Joypad.
Même définition que Joypad.
Une parallaxe est un plan de décor (en 2D). La superposition de plusieurs parallaxes défilant à des vitesses différentes provoque un sensation de profondeur qui peut être tout aussi bluffante (voir plus) qu’avec un décor en 3D.
Un patch est un petit programme. Il permet notamment de corriger les bugs dans le programme original (OS, jeu et autre), mais les éditeurs en profitent également pour améliorer les performances, rééquilibrer les forces voir même rajouter quelques petits bonus (nouvelles maps, modes…)
Le pathfinding est un algorithme permettant de trouver un chemin. Vital dans les RTS, il permet aux unités de déterminer le meilleur chemin vers leur objectif. Le pathfinding doit donc tenir compte de tous les obstacles afin de pouvoir les contourner, il doit également pouvoir modifier le chemin en temps réel lors de la découverte de nouveaux obstacles. Un bon pathfinding doit également tenir compte de la formation des unités et l’adapter au terrain.
Même définition que Driver.
Le ping est le temps de réponse d’une connexion réseau (local ou internet) exprimé en millisecondes. Plus le ping est proche de 0, plus la connexion est de bonne qualité.
C’est le plus petit élément graphique affichable sur un écran et ayant la forme d’un carré. L’affichage sur un écran est en réalité composé d’une multitude de pixels alignés en largeur et en hauteur et dont leur nombre compose ce qu’on appelle la « résolution ». L’espacement entre chaque pixel s’appelle le « pitch ». Plus il est faible et plus les pixels sont rapprochés entre eux et difficilement dissociables à l’oeil nu. L’affichage n’en est que plus fin et de qualité.
Introduit par DirectX 8, cette technique permet d’altérer les pixels d’une image en temps réel et permet des rendus très réalistes. Les applications de cette techniques sont innombrables - on peut par exemple citer les effets de profondeurs de champs (Silent Hill 3 et Shadow of Memories), les effets de chaleur (les décors de Super Mario Sunshine et le volume de chaleur autours des flammes de The Wind Waker) ou encore le rendu des gouttes d’eau sur une vitre (Metroid Prime, Silent Hill 3).
On dit qu’un jeu pixellise lorsque l’on vous de gros pixel à l’écran. Cela est souvent du à une faible résolution ou à un zoom trop important. Ainsi, un jeu de console portable (GB, NGP, Lynx…) pixellisera si vous jouez sur grand écran (TV ou PC) du fait d’une résolution bien plus élevée que sur l’écran de la console.
Genre de jeu inventé par Nintendo avec Super Mario Bros.. A l’origine, ce genre désigne tous les jeux où il faut atteindre la fin du niveau en courant et en sautant sur des plateformes. Aujourd’hui il n’existe plus de pur jeu de plateforme, puisque depuis Super Mario Bros. 3 sur NES, tous les meilleurs jeux du genre tendent à intégrer aussi des éléments de jeu d’aventure (le chef d’oeuvre du genre étant à l’heure actuelle Super Mario 64).
Le PlayStation Network est la plate-forme online de Sony. Il permet de jouer en ligne gratuitement. Il englobe également le service Playstation Store (pour les téléchargements) ainsi que le futur PlayStation Home (une copie de Second Life version Sony).
Le PlayStation Store est la plate-forme de téléchargement principale de la PS3 de Sony. Elle propose du contenu téléchargeable gratuit et payant. Ce contenu peut aussi bien être des vidéos (trailers, films), des musiques, des démos jouables, des jeux (originaux et anciens) ou bien du contenu supplémentaire (nouvelles cartes/voitures/modes…). Le service propose également des téléchargements pour la PSP, mais oblige de passer par la PS3 pour acquérir, télécharger et effectuer les transferts.
Morceau de logiciel destiné à ajouter une ou plusieurs fonctionalités à un logiciel déjà existant. A ne pas confondre avec un « patch », qui lui ne fait que corriger ou améliorer des fonctions défaillantes ou incomplètes du logiciel.
Systeme de jeu utilisé par les jeux d’aventure à l’époque, utilisés en majorité par LucasArts et Sierra.Comme jeux utilisant ce systeme, parmi les plus connus on peut citer Sam & Man, Maniac Mansion, Monkey Island, Operation Stealth… ou plus recemment RunAway).Le principe est que les actions sont effectués à l’aide du curseur de la souris, avec lequel, vous interagissez avec les objets ou les personnages.A l’époque, vous aviez une liste de verbe sur un fond noir en bas de votre ecran, et vous selectionniez l’action à effectuer (exemple: ouvrir > porte).Maintenant le systeme est plus evoluée, plus d’interface textuelle, lorsque vous passez votre curseur sur un objet ou un personnage, l’action la plus logique sera tout de suite proposée.
On peut distinguer 2 catégories de ports : les ports matériels et les ports logiciels.- Un port matériel est une prise (interne ou externe) permettant de connecter divers périphériques et autres extensions. Il y a énormément de normes (PCI, AGP, USB, PS2…) se différenciant par leurs capacités, leurs rôles et leurs caractéristiques physiques.- Un port logiciel est ce qui permet à l’ordinateur de reconnaître les différents interlocuteurs, ces ports permettent donc aux différents programmes de communiquer avec le système d’exploitation, ces ports peuvent être ouvert (ce qui peut être une faille de sécurité et une invitation aux pirates) ou fermé. Pour plus de simplicité, on peut assimiler les ports logiciels à des portes : si c’est ouvert, les informations passent, si c’est fermé, rien ne passe.
Un power-up est un bonus que vous pouvez acquérir lors d’une partie. Leurs effets sont très variés et dépendent principalement du type de jeu (augmentation de puissance de tir, vie supplémentaire, armes…). Plus qu’un petit plus, les power-ups sont des éléments qui enrichissent le gameplay des jeux.
Un processeur est un circuit électronique pouvant effectuer des opérations arithmétiques et logiques. Parmi les principales caractéristiques d’un processeur on trouve : son jeu d’instructions, sa vitesse (en Hertz), son architecture. La puissance des processeurs « obéit » à la loi de Moore (de Gordon Moore l’un des fondateur d’Intel) : « la puissance de calcul des ordinateurs double tous les dix-huit mois ». Néanmoins cette « loi » ne s’avère correcte que dans le cas de processeur avec un seul cœur.
Genre de jeu très simple qui consiste à empiler des éléments (briques, bulles, etc.) à l’écran, et à les faire disparaître en créant les combinaisons adéquates. Tetris est le premier et le plus connu des Puzzle games. Voir aussi la très populaire série des Puzzle Bobble.
Le système de QTE consiste à un moment précis où l’on affiche à l’écran une action précise à effectuer, le joueur ne dispose alors que de quelques secondes pour l’exécuter. Si l’action est effectuée avec un bon timing, tout va bien, dans le cas contraire, soit le joueur subira un handicap/pénalité, soit ce sera le game over.Bien qu’on considère souvent le jeu Shenmue sur dreamcast comme un précurseur dans le domaine, ce type d’action existait déjà depuis longtemps et certains jeux sont même entièrement basés sur ce principe (comme Road Avenger…).
Une quête est une mission. On parle de quête principalement dans les RPG et les jeux d’aventure. Il existe 2 types de quêtes :- Quête principale : c’est une quête obligatoire à laquelle le joueur ne peut pas échapper. C’est elle qui fait avancer l’histoire du jeu.- Quête seconde/annexe : ces quêtes sont facultatives, le joueur n’est pas obligé de les accomplir s’il veut juste finir le jeu. Ces quêtes apportent en général de nouveaux objets/compétences/personnages. Elles peuvent également servir à compléter l’histoire.
Elément indispensable pour les PC et consoles, la RAM est de la mémoire qui sert à stocker des données temporaires afin de pouvoir effectuer des calculs… Les processeurs peuvent donc lire, modifier et supprimer les données stockées dans la RAM. L’autre grande différence avec les ROM est que si la RAM n’est plus alimentée en électricité, toutes les données qui y étaient stockées sont perdues.
Même définition que RVB.
Technologie de certains processeurs. Les processeurs RISC ont un jeu d’instructions réduites mais plus nombreuses que les processeurs CISC (Complex Instructions Component Set). Pour un même résultat, un processeur RISC doit donc exploiter des instructions plus nombreuses, mais aussi plus simples et donc plus rapides à exécuter. De fait, à fréquence égale, les processeurs RISC sont généralement plus véloces que les processeurs CISC. Les ARM équippant la GBA, la 3DO, la Saturn (elle en possède 2), le R3000 équippant la PSX sont des processeurs RISC. Les x86 des PC sont eux à base de technologie CISC.
« Mémoire en lecture seule » en français.Une Rom est de la mémoire dite permanente : lorsque l’alimentation est coupé, les données sont conservées. L’autre caractéristique principale des Roms est que leur contenu n’est pas modifiable. L’exemple le plus courant de Rom est le bios des PC néanmoins, on retrouve des roms dans toute une variété d’autres appareils.Par extension, on parle souvent de roms pour désigner les copies de ces puces sur fichier informatique. On dira par exemple « la rom Zelda 64 » pour indiquer la copie de la cartouche Nintendo 64 sur un fichier informatique. Ces fichiers pourront ensuite être lu par des émulateurs.
« Jeu de Rôle » en français.Désigne l’ensemble des jeux vidéo présentant des similitudes avec les jeux de rôle papier (Dongeons & Dragons, etc.). Ceux-ci ont en général pour points communs un scénario long, des personnages variés et une gestion des points d’expérience et des caractéristiques des personnages. Dans une volonté de tout classifier, certains parlent également de A-RPG (mélange de jeu d’aventure et de RPG), de Tactic-RPG (mélange de stratégie et de RPG), de MMORPG (Massively Multiplayer Online RPG) ou encore de UTTLG-RPG.V² (non là je déconne par contre).En gros, ces appellations ne servent à rien si ce n’est à déclencher des débats stériles et risibles pour déterminer si tel ou tel jeu appartient à telle ou telle catégorie (alors qu’au fond la vraie question c’est : qu’est-ce qu’on en a à battre ?)
« Stratégie en temps réel » pour les anglophobes.C’est une évolution du jeu de stratégie au tour par tour car là, on peut déplacer toutes les unités sans attendre l’adversaire. On considère généralement que le premier RTS est Dune 2 de Westwood Studios (PC, Amiga, Sega CD).Quelques très bon exemples de RTS : Starcraft, Warcraft, Total Annihilation et Age of Empire.
Format de connexion vidéo. Le RVB est le format utilisé sur les moniteurs informatiques (norme VGA), les bornes d’arcade (norme JAMMA), et de nombreuses consoles de salon (norme péritel ou SCART). Contrairement au Svideo ou au Composite, le RVB véhicule chaque couleur de base sur un fil séparé, et utilise selon les normes une ou deux liaisons pour la synchronisation. Cette séparation garantie une image de très haute qualité et une indépendance quasi-totale vis-à-vis des standards de couleur (PAL, SECAM ou NTSC). Néanmoins, chaque norme reste incompatible avec les autres, à moins d’utiliser un adaptateur spécifique.
Sous ce nom barbare se cache en fait le reflet du décor des jeux, concrètement, le décor étant reflété sur une texture miroir. Cet effet n’est réellement géré par les machines que depuis la génération des 128 bits, l’effet n’étant que simulé par des bidouilles de programmeur dans les jeux de l’époque de Gran Turismo. La gestion en hardware de cet effet permet maintenant de le combiner avec d’autres effets (comme la transparence).
Le respawn (ou réapparition en français) est le fait qu’un ennemi (ou un joueur) réapparaisse au bout d’un certain délai à un certain endroit. Il y a 2 utilisations principales du respawn : réalimenter le jeu en chair à canon ou permettre au joueur de retenter sa chance dans un passage délicat (grâce à la combinaison avec des checkpoints). Cela est très largement utilisé dans les modes multijoueurs des FPS, mais également dans des jeux de plate-forme, des MMORPG… et même dans des jeux de courses (les Trackmania notamment).
Littéralement : ruée. Le rush est une technique plus ou moins contestable consistant à effectuer une attaque éclair dans un camp ennemi dès le début de la partie avec un minimum d’unités d’attaque. Ce principe est particulièrement valable dans les jeux de stratégie (RTS). Néanmoins cette technique implique de délaisser le côté « recherche et développement » ainsi que le développement de la défense de la base. Un « bon » rusher se doit donc d’écraser ses adversaires le plus rapidementpossible sous peine d’essuyer la riposte ennemie avec une défense minimale.
La résolution permet de mesurer la qualité d’un affichage: plus la résolution est élevé, meilleure est la qualité. La résolution se mesure en pixels (exemple: 1600x1200 pixels). Toutefois, un programme prévu pour une résolution basse subira des déformations (de la pixellisation notamment) s’il est exécuté dans une résolution plus élevée.
Le Rétrogaming est un phénomène caractérisé par l’envie de rejouer ou de découvrir les jeux des consoles et ordinateurs dit « rétro ». On classe en général dans cette catégorie tout ce qui fait parti des génération 8/16 bits voir 32 bits (certains ne considérant pas les 32 bits comme du rétro gaming), on y retrouve donc des machines mythiques tel que la NES, la SNES, la Megadrive, la Néo Géo… Mais on y trouve également quelques illustres « inconnues » ou oubliées comme la WonderSwan, la 3DO…
Format de connexion vidéo. A l’origine utilisé sur les caméscopes et magnétoscopes haut de gamme, le S-Video tend à se rependre dans d’autres domaines tel que les lecteurs DVD, les consoles de salon ou les sorties TV des ordinateurs. D’une qualité un poil moindre comparé au RVB, il offre néanmoins une qualité bien supérieure au composite grâce a la séparation de la luminance (luminosité de l’image) et de la chrominance (la couleur).
Pour un humain moyen, la tête représente à peu près 1/8 de la taille du corps, alors que pour les personnages en SD elle fait 1/3 du corps. Cette représentation est en général utilisée pour donner un aspect enfantin au jeu, mais il s’avère idéal sur certain style de jeu (RPG) ou sur certaines machines (consoles portables).
Un SDK est un ensemble d’outils fournis par les développeurs de jeux. Grâce à ces outils, la communauté de joueurs (ou plutôt de moddeurs) est alors en mesure de modifier le jeu sous plusieurs aspect (gameplay, graphismes…) donnant ainsi naissance à divers mods.
Il s’agit d’une librairie (ensemble d’instructions et de fonctions prêtes à l’emploi) multimédia très « ouverte » au sens où elle est disponible et adaptable sur de très nombreux systèmes d’exploitations en sus de Windows : Linux, BeOS, Mac OS, FreeBSD … et même sur SymbianOS (périphériques portables comme certains PDA et téléphones mobiles).SDL fournit de très nombreuses fonctions pour la gestion vidéo (2D et 3D), audio, clavier, souris et joysticks. Elle est donc extrêmement adaptée aux jeux vidéos et aux émulateurs. Elle offre l’avantage de fonctionner sur de nombreux systèmes et ne limite pas les développeurs au couple Windows/DirectX.Tandis que le jeu « Civilization : Call to Power » a utilisé cette librairie pour son portage Linux, des émulateurs l’utilisent aussi comme Visual Boy Advance, XMame, Virtual Jaguar, Handy etc.
Ce sigle signifie « Séquentile couleur à mémoire ». Cette technologie, française, est resté en diffusion limité (France, Russie et quelques autres pays). Les principales caractéristique du SECAM sont un affichage sur 625 lignes, le tout à une fréquence de 50 Hertz (soit 25 images/s). A noter que ce système offre une image légèrement supérieure en qualité au PAL, mais dispose d’un son moindre.
Support de stockage numérique amovible présenté sous forme de fine carte mémoire. De capacités variables (de 16 à 512 Mo voire plus), elles sont utilisées par les appareils photos numériques, ordinateurs portables et divers matériels informatiques.La GP32, console portable de GamePark, utilise également ce support numérique pour le stockage des jeux, applications, mp3 etc.
Abréviation de Sega Master System, console du fabriquant Sega.
Console 16-bits Ô combien célèbre de Nintendo. En France, elle portait le nom de Super Nintendo; au Japon de Super Famicom (Famicom pour FAMily COMputer)
Société on ne peut plus célèbre, créatrice de la Neo Geo. Elle redonna un souffle de vie plus que conséquent au monde de l’arcade en la faisant débarquer dans les salons.On doit à la firme des jeux tels que Samurai Spirit, The King of Fighters ou encore Fatal Fury.
Combinaison de 2 noms : SNK et Playmore. Cette dernière a racheté SNK lors de sa faillite pour se renommer en Playmore. Désireuse de retrouver l’estime des fans de SNK, la société se rebaptise SNK Playmore.
Même définition que RTS.
Il s’agit d’une évolution de la norme VGA utilisée par les cartes d’affichage (ATI, nVidia…) sur les ordinateurs compatibles PC. La norme SVGA est de 800x600 pixels (contre 640x480 pour le VGA).
Même définition que S-Vidéo.
Un sample est un échantillon. Dans le cas de Mame, il s’agit de complément de son qui permettent d’ajouter aux roms des bruitages et autres voix digitales.
Ce sont les lignes horizontales des écrans de télévision. Les écrans d’ordinateurs n’en ayant pas, elles peuvent être ajoutées, simulées pour un meilleur confort visuel. En effet, les graphismes des jeux sur console sont étudiés en tenant compte de ces lignes.
Le scoring est une activité consistant à obtenir le plus haut score possible : il s’agit de jouer le mieux possible. On parle en général de scoring pour les shoot’em up et les jeux typés arcade. C’est généralement en faisant du scoring que toute la richesse et la finesse du gameplay se dévoile (combo, multiplicateur de score, temps…). Dans certains jeux on peut même trouver des modes consacrés à cette activité, lorsque c’est le cas, on peut se retrouver avec des multiplicateurs et bonus de points supplémentaires.Certains jeux disposent de niveaux spéciaux, en dehors de la trame du jeu, pour proposer un terrain propice au score. On parle de niveaux Caravan, Time Attack ou encore Score Attack.
Capture d’écran d’un jeu lors d’une partie.
Le scrolling correspond au déplacement progressif de la zone de jeu, que ce déplacement soit ou non influencé par le joueur. On distingue plusieurs type de scrollings :- horizontal- vertical- multidirectionnel : La zone de jeu peut se déplacer tant horizontalement que verticalement.- 3D : Ce terme était parfois utilisé dans de vieux magazines et reflétait un déplacement dans un espace en 3D, comme dans les FPS.On parle aussi parfois de scrolling parallaxe, c’est à dire qu’il y a plusieurs couches dans le décor qui ne se déplacent pas à la même vitesse pour accentuer l’effet de profondeur du décor. A titre d’exemple, Shadow of the Beast sur Amiga disposait d’un scrolling parallaxe sur 13 plans à certaines phases du jeu!
Moteur de jeu utilisé par la plupart des jeux « point ‘n click » de la firme LucasArts. Parmi ces jeux on retrouve des grands classiques tels que Day of the Tentacle, Simon le sorcier, Maniac Mansion, la série des Monkey Island, Indiana Jones, Zak McKracken, Loom, Full Throttle, Beneath a Steel Sky, la série des Broken Sword etc.ScummVM est une machine virtuelle destinée à rejouer à tous ces jeux sur de très nombreux supports à commencer par le PC mais également les téléphones portables et les PowerPC (Mac).
Le shareware est un mode de distribution d’un logiciel permettant à l’utilisateur d’essayer sans engagement le produit, avec soit des fonctionnalités limitées, soit durant un temps limité (en général 30 jours), ou toute autre restriction. Après avoir testé le produit, l’utilisateur satisfait peut acheter la licence du logiciel et donc supprimer les restrictions de la version d’essai.
Contraction du mot « shoot them up ».
Ce type de jeu peut être de deux types : horizontal ou vertival. L’écran se déplace dans une de ces deux directions et vous devez éradiquer tous les ennemis sur votre passage. En général, vous êtes souvent aux commandes d’un vaisseau (R-Type) / avion (Ghosts Pilot) / personne (Atomic Runner) … bref, le défilement de l’écran est autonome et vous oblige à avancer. Ce type de jeu est particulièrement délicat étant donné la profusion d’ennemis et le nombre de leurs tirs.
Littéralement instantané. Un snapshot est une capture d’écran d’un jeu lors d’une partie.
Un software est un logiciel de n’importe quel type que ce soit (jeu, utilitaire, logiciel bureautique…). On parle également de software pour le traitement de tâche informatique, dans ce cas, un logiciel spécifique se charge d’effectuer des calculs complexes. Cela est en opposition avec un traitement hardware qui s’avère en général bien plus rapide. En effet, les méthodes software ont l’avantage de pouvoir être évolutive, mais, elles utilisent les composants de la machine qui, en général, ne sont pas spécialisés dans ces tâches.
Sorte d’étiquette se situant sur le flan de la boite d’un jeu (japonais). Une fois le jeu libéré de son emballage, rien ne maintient la spine card en place. Les spine card n’existent que pour les jeux dont les boîtiers sont des boîtiers CD (simple ou double).
Un écran est dit splitté lorsqu’il est divisé en plusieurs parties afin de jouer à plusieurs. On distingue le split horizontal (séparation dans le sens de la longueur, le plus utilisé) du split vertical (séparation dans le sens de la hauteur).
Elément graphique en 2D de taille variable : 16x16 pixels, 32x32 pixels ou 64x64 pixels, etc. Par exemple, le personnage de Mario dans « Super Mario Bros. » sur NES est un sprite de 32x32 pixels.Petite précision : n’a rien à voir avec la boisson gazeuse du même nom.
Un stage est l’endroit où le joueur évolue : il s’agit d’une étape du jeu (qui peut se terminer par l’affrontement d’un boss). On parle en général de niveau pour les jeux de plate-forme, les shoot’em up, d’action… L’enchaînement des stages peut être linéaire et fixe (Sonic, Street of Rage…) ou bien laissé au choix du joueur (Super Mario World, Rayman…), dans ce dernier cas, cela peut constituer une part importante du gameplay (comme pour la série des Megaman). Il peut également arriver que l’enchaînement des stages dépende des performances du joueur (comme dans Border Down) ou bien soit complètement aléatoire.
Un stand-alone est une extension un peu particulière pour un jeu. En effet, pour pouvoir profiter d’une extension classique, vous devez obligatoirement posséder le jeu original, c’est là toute la différence avec le stand-alone qui lui ne le nécessite pas et permet donc aux nouveaux joueurs d’en profiter sans à avoir à acheter le jeu d’origine.
On dit qu’on strafe lorsque l’on effectue des déplacements sur les côtés. Le strafe est utilisé dans tous les FPS, cela permet notamment de tourner autour d’un adversaire tout en le conservant dans sa ligne de mire.
L’une des protections les plus terribles utilisées sur certains jeux d’arcade. Les données les plus sensibles du jeu, tel que les tables de décryptage ne sont pas stockées dans une rom, mais dans une mémoire vive (Ram), alimentée en permanence par une pile. Toute intervention extérieure sur cette mémoire entraîne son effacement et rends de ce fait le jeu totalement inutilisable. Le dump de ces données est donc absolument impossible et le seul moyen d’émuler un système arcade protégé de la sorte est de « casser » le cryptage par d’autres moyens, ce qui est très long et complexe. Les principaux systèmes dotés de cette protection sont : Les Capcom CPS1, 2 et 3, certains jeux Gaelco, et une grande majorité des cartes System 16 et 18 de Sega. La protection par suicide battery pose également un sérieux problème pour la préservation des jeux d’arcade originaux car les piles utilisées ont une durée de vie de 10 ans environ et si elles ne sont pas remplacées avant leur décharge totale, le jeu est rendu inutilisable.
La Supes NES étant incapable de produire des images en 3 dimensions (3D), la puce SuperFX est implantée directement dans les cartouches de jeu pour remédier à cette lacune. Le premier jeu à en bénéficier fut Starwing (Starfox dans le reste du monde).
Genre de jeu inventé par Frédéric Raynal avec Alone In The Dark puis perfectionné par Capcom avec la série des Resident Evil. Ce genre mélange les principes de base des jeux d’aventure avec celui des films d’horreur : votre but est donc de chercher des objets, des clefs, d’explorer un environnement, sans vous faire bouffer (littéralement) par la horde de monstres à vos trousses.Ces jeux mettent parfois l’accent sur l’ambiance et la peur (Alone In The Dark et le premier Resident Evil excellent dans ce domaine) ou parfois sur l’action (Resident Evil II). D’autres encore misent sur le gore et le glauque bien malsain comme la série des Silent Hill de Konami.A noter également que ces jeux sont ceux qui ont su le mieux assimiler le language cinématographique et l’adapter dans un cadre interactif. Encore une fois, tout le mérite en revient à Frédéric Raynal qui a su s’aventurer dans cette voie avec brio, et ce en l’espace d’un seul jeu !
Même définition que Vertex Shading.
Il s’agit du Tokyo Games Show, salon se déroulant à… Tokyo !!! Ce salon est le 2° plus important (après l’E3).
Groupe de personnes fondé en 2000 dont le but est de recenser, cataloguer et renommer selon un cahier des charges précis les différentes ressources du monde de l’émulation (notamment les roms), qui est il faut bien l’avouer, un beau bordel! ;) Leur travail titanesque, la variété des plates-formes touchées (plus de 50) en ont fait une référence dans le monde de l’émulation.Il n’est pas garanti qu’une rom certifiée TOSEC fonctionne sur un émulateur ni que ce soit un dump exact de l’original (bien des hacks sont recensés) mais la probabilité de fonctionnement est meilleure et on est garantit que le fichier a déjà été examiné de façon approfondie. Un fichier TOSEC porte en général un numéro, le titre complet de la rom et diverses informations entre [] (par exemple [U] signifie que la rom est un dump d’une cartouche américaine), le tout conforme à un CRC enregistré dans la base de données disponible sur le site.Site internet : http://www.tosec.org
Le terraforming est un effet déformant le décor en temps réel. Cela permet par exemple d’obtenir des cratères où une grenade a explosé, il peut vous permettre de « créer » de nouveaux chemins… Les jeux les plus connus utilisant cette technique sont Red Faction, Worms 3D…
Une texture est l’équivalent du papier peint mais pour la 3D. Il s’agit donc d’une image plus ou moins détaillée qui est plaquée sur un (ou plusieurs) polygones permettant ainsi d’obtenir de beaux objets 3D détaillés au lieu d’objets composés de plaques unicolores.
Même définition que Cell Shading.
Une update est une mise à jour pour un logiciel (réalisé la plupart du temps grâce à des patch). Une update permet la correction de bugs, l’amélioration des performances ainsi que l’ajout de nouvelles fonctions. Les updates peuvent également permettre de tirer parti d’une nouvelle technologie qui n’existait pas à l’époque de la sortie initiale du logiciel.
Une upgrade est une mise à jour matérielle. En général parle d’upgrade lors de l’ajout d’un nouveau composant (barrette de RAM supplémentaire…) ou lors du remplacement d’un composant par un nouveau plus performant (remplacement d’une ancienne carte graphique par un nouveau modèle par exemple). Les upgrades concerne donc principalement les ordinateurs, néanmoins, les consoles de jeu peuvent également en bénéficier (comme le Mega CD pour la Megadrive de SEGA, le Famicom Disk System pour la Famicom de Nintendo…). Une upgrade ne sert généralement qu’à améliorer les performances, mais elle peut également apporter de nouvelles capacités plus ou moins utiles à la machine originale (lecture de CD Audio pour le Mega CD de la Megadrive par exemple).
Même définition que S-Vidéo.
Le port VGA est une connexion analogique, le port VGA est devenu un standart incontournable. Ainsi, on le trouve principalement sur les ordinateurs, les moniteurs cathodiques, les TV à écran plats (LCD, plasma), les vidéo/rétroprojecteurs… L’appelation de port VGA n’estqu’une convention, en effet, il s’agit en fait d’un port DB9 ou mini D-sub… soit un port série. Ne vous étonnez donc pas si vous connectez des périphériques sur votre ordinateur via des ports ressemblant au port de votre carte graphique.
Un VGA-Box est un boîtier permettant de relier un appareil vidéo à un écran de PC. En effet, les écrans de PC offrent des résolutions plus élevées, ce qui permet d’avoir une image de meilleure qualité (en particulier sur les jeux récents). Il existe des boîtiers spécifiques à chaque console (Dreamcast, GameCube, PS2, XBox) ainsi que des boîtiers plus génériques avec des entrées S-vidéo ou RCA (ce qui permet de brancher caméra, magnétoscope, lecteur DVD de salon…).
Période de temps pendant laquelle l’affichage est en pause pour quelques millisecondes et se prépare à dessiner la prochaine frame. En l’absence de vSync, l’affichage « clignotte » car la frame courante peut être supprimée (écran noir pendant quelques millisecondes) alors que la prochaine frame n’est pas forcément prête à être affichée (pas encore finie d’être dessinée).
Technique graphique permettant d’altérer l’apparence d’une surface en temps réel. Utilisée par exemple pour faire des effets de vagues réalistes (Morrowind), pour le rendu des cheveux (Silent Hill 3) ou des vêtements (le film Final Fantasy). D’une façon général, elle permet aux développeurs de jeu de transformer n’importe quelle surface en temps réel selon une série d’instructions qu’il aura préalablement définit et qui sera traitée par l’accélérateur graphique. Cette technique est supportée par les consoles depuis la PS2 / Game Cube / X-Box et par les cartes graphiques PC depuis 1999.
Le Vintage Gaming est un phénomène caractérisé par l’envie de rejouer ou de découvrir les jeux des consoles et ordinateurs dit « vintage ». On classe en général dans cette catégorie tout ce qui date d’avant la NES/Famicom, on y retrouve donc les Odyssey², Atari VCS 2600, Commodore C64, MSX et consort.
Littéralement en français : Travaux en cours. Fréquemment utilisée, cette abréviation indique sur quels points un programmeur ou une équipe travaille.
Type de jeu où seule la tactique militaire est prise en compte. Généralement, un scénario est une bataille au cours de laquelle le joueur affronte l’adversaire avec une armée prédéfinie, sans s’occuper de gestion de ressources ou de recherches et sans pouvoir produire de nouvelles unités.Très souvent aussi, ces jeux reprennent de façon réaliste des conflits historiques. Les wargames se déroulent habituellement au tour par tour.Parmi les plus connus on peut citer les séries des Battle Isle ou des 5 Stars General (Panzer General, Fantasy General) ou encore Fields of Glory.
Il s’agit d’une norme graphique utilisée par les cartes d’affichage (ATI, nVidia…) sur les ordinateurs compatibles PC. La norme XVGA est de 1024x768 pixels avec environ 65000 couleurs.
Terme désignant votre expérience. Vous gagnez des points d’XP lorsque vous tuez des ennemis ou accomplissez certaines quêtes. C’est en accumulant ces XP que vous pourrez faire progresser vos personnages (plus ils ont d’XP, plus ils sont forts). Les XP sont presque exclusivement utilisés dans les RPG.
Le Xbox Live est la plate-forme online de Microsoft. Il permet de jouer en ligne avec un abonnement payant. Il englobe également le MarketPlace (pour les téléchargements de vidéos, musiques, démos) qui englobe lui même le Live Arcade (téléchargement de jeux originaux et anciens).
Le Xbox Originals est une partie spécifique du MarketPlace de Microsoft. Ce service propose en téléchargement payant des jeux de la Xbox première du nom. Ces versions sont identiques aux originales, le concept des succès n’étant pas rajouté (contrairement aux jeux du Live Arcade) mais ils disposent toujours de leurs modes onlines.
Même définition que S-Vidéo.
Dernier né des formats vidéo, le YUV est essentiellement utilisé sur les lecteurs DVD haut de gamme, les vidéo projecteurs et écrans plasma, et en option sur la Gamecube, première console à gérer ce format. La connexion se fait au moyen de 3 câbles RCA de couleur rouge, bleue et verte. Le YUV est vraisemblablement appelé à se répandre dans un proche avenir
Cette technique permet de calculer la profondeur des éléments du décor. Cela permet d’optimiser l’affichage et permettant, par exemple, de détecter si un personnage se trouvent derrière un bâtiment. Dans ce cas, les textures de ce personnage ne lui seront pas appliqué, permettant ainsi un gain de ressources. Selon les cartes graphiques, il vous sera possible de choisir entre un Z-Buffer de 16, 24 ou 32 bits, le premier consomme moins de mémoire mais est moins précis.