Le bon vieux principe du claque-thunes, version Konami.Les Castlevania sont en général peu évidents, mais ce portage pète les limites du supportable.Atteindre le dernier boss relève déjà de l’exploit (et du porte-feuilles bien rempli à l’époque), mais battre sa seconde forme tient carrément de l’inimaginable.Ah, sacré Dracula!